Hameau de Vignols, Berceau du Gypaëte

Découverte du Hameau de Vignols à pied à partir de Roubion. C’est à partir d’une petite sente perdue que nous nous dirigeons Vers Vignols.
Le sentier parsemée de différentes variétés de fleurs est un régal pour les yeux. Entre autres les habituels fleurs, on y trouve le lys orangé et l’ancolie. Les premières myrtilles font leur apparition. L’ombre du chemin fait place à la chaleur écrasante des hautes pâturages de Vignols baignés par le soleil. L’eau coule en abondance et nous rafraichie. Alors pour conserver cette fraicheur, nous choisissons notre aire de pique nique au bord de la vionène près d’une petite vasque nous tentant pour une baignade. Une petite chute d’eau, une eau claire et nous voici rapidement à 5 dans cette petite vasque pour profiter d’une eau à bonne température. Après le déjeuner nous  partons en direction de la Balme de la Fiero, une cavité façonnée par les éléments, une cargneule magnifique parsemée de trous synonyme d’une érosion importante.Quelques vautours dans le ciel s’amusent avec les chocards, il est temps de redescendre sur Roubion au milieu du même sentier qu’à l’aller. Une belle journée randonnée dans le Parc du Mercantour, comme on les aime.

Les Lacs Morgon, Bijou du Mercantour

Départ D’Isola 2000 pour ce tour du Malinvern et une petite montée à la baisse du druos en passant par les lacs de Terres rouge. Le soleil est bien présent et éclaire les montagnes encore enneigées. Les lacs Valscura s’illuminent de leur eaux turquoises.

Le pique nique est pris au lac, le paysage est magnifique. Une sieste s’impose avant la remontée au pas de Valscura qui nous emmènera au lac Malinvern. La montée est en zig zag , après déjeuner , la montée est rude et le  col est le bien venu.

Quelques névés en face nord nous obligent à la prudence, d’autant que la pente est raide. 350 m plus bas nous voici au lac Malinvern où nous installons le bivouac au bord du lac. Une baignade s’impose, même si l’eau est froide, mais ça nous fait du bien à tous en guise de décontraction des muscles.

3 tentes sont plantées ainsi qu’une bâche pour éviter la rosée du matin sur les duvets. Étant hors d’un parc national, nous ferons un petit feu histoire de se réchauffer un peu en fin de soirée. La nuit se passe, pas de vent, à une bonne température.

Le lendemain, levé 7 h pour préparer le pdj et tout replier pour aborder cette nouvelle journée. D’abord en descente jusqu’au refuge Malinvern, où un petit arrêt de 25 min sera fait pour bien se préparer psychologiquement pour une remontée de 600 m jusqu’au pas d’Orgials. D’autant que la montée se fait au soleil.

Arrivés au lac d’Orgials, une petite pause avec une vue magnifique. Beaucoup marmottes de part et d’autres du sentier, quelques bouquetins et des chamois. Le pas d’Orgials fatigue les organismes, le soleil tape, alors c’est en redescendant du pierrier et au bord d’une source miraculeuse que nous déjeunons et prenons notre temps pour aborder la fin du parcours avec une remontée au col e la lombarde et une descente vers Isola 2000.

Le parcours passe dans quelques pierriers, des montées subites et une arrivée aux voitures à 16h40. Une fin de parcours éprouvante, mais un paysage magnifique tout au long de ces deux jours.

Une bonne expérience pour l’ensemble des participants dans ce parcours à une altitude moyenne de 2000 m d’altitude pour 21 kms et 1717 m de dénivelées positives

Yohann Accompagnateur Terres d’émotions
C’est donc en descente que la randonnée commence pour aller à la vacherie de Mollières qui fait la jonction avec le sentier qui remonte au col du barn. Le soleil est omniprésent mais s’efface peu à peu en cette fin de matinée, non sans être trop menaçant. Mais tout de même les nuages nous obligeront à ne pas rester trop longtemps au lac par peur d’une averse.
Donc dans la montée au lac du Barn, les fleurs sont nombreuses, les myrtilles sont en fin de floraison et les fruits ne sont qu’au début. A noter que le myrtillier se promet à une bonne récolte.
L’eau est omniprésente, les cours d’eau sont chargés du fait des nombreux orages et des névés restant en ce début de printemps. Les marmottes se font entendre.
Puis nous arrivons au lac, majestueux, bien caché au pied des montagnes à quelques mètres du sentier. Invisible derrière une forêt de mélèzes, le lac est au sommet de sa côte maximale. L’eau est claire et un peut fraiche à la baignade !
Au retour, nous découvrirons la grassette, une des plantes carnivores du Mercantour, où elle piège les insectes grâce à des glandes odorantes et gluantes.
Le retour se terminera par un verre bien mérité à st Martin Vésubie.
Une randonnée très sympathique sans grande difficulté, facile et accessible et printanière

WE Bivouac -Tour du Malinvern

Départ D’Isola 2000 pour ce tour du Malinvern et une petite montée à la baisse du druos en passant par les lacs de Terres rouge. Le soleil est bien présent et éclaire les montagnes encore enneigées. Les lacs Valscura s’illuminent de leur eaux turquoises.

Le pique nique est pris au lac, le paysage est magnifique. Une sieste s’impose avant la remontée au pas de Valscura qui nous emmènera au lac Malinvern. La montée est en zig zag , après déjeuner , la montée est rude et le  col est le bien venu.

Quelques névés en face nord nous obligent à la prudence, d’autant que la pente est raide. 350 m plus bas nous voici au lac Malinvern où nous installons le bivouac au bord du lac. Une baignade s’impose, même si l’eau est froide, mais ça nous fait du bien à tous en guise de décontraction des muscles.

3 tentes sont plantées ainsi qu’une bâche pour éviter la rosée du matin sur les duvets. Étant hors d’un parc national, nous ferons un petit feu histoire de se réchauffer un peu en fin de soirée. La nuit se passe, pas de vent, à une bonne température.

Le lendemain, levé 7 h pour préparer le pdj et tout replier pour aborder cette nouvelle journée. D’abord en descente jusqu’au refuge Malinvern, où un petit arrêt de 25 min sera fait pour bien se préparer psychologiquement pour une remontée de 600 m jusqu’au pas d’Orgials. D’autant que la montée se fait au soleil.

Arrivés au lac d’Orgials, une petite pause avec une vue magnifique. Beaucoup marmottes de part et d’autres du sentier, quelques bouquetins et des chamois. Le pas d’Orgials fatigue les organismes, le soleil tape, alors c’est en redescendant du pierrier et au bord d’une source miraculeuse que nous déjeunons et prenons notre temps pour aborder la fin du parcours avec une remontée au col e la lombarde et une descente vers Isola 2000.

Le parcours passe dans quelques pierriers, des montées subites et une arrivée aux voitures à 16h40. Une fin de parcours éprouvante, mais un paysage magnifique tout au long de ces deux jours.

Une bonne expérience pour l’ensemble des participants dans ce parcours à une altitude moyenne de 2000 m d’altitude pour 21 kms et 1717 m de dénivelées positives

Yohann Accompagnateur Terres d’émotions
C’est donc en descente que la randonnée commence pour aller à la vacherie de Mollières qui fait la jonction avec le sentier qui remonte au col du barn. Le soleil est omniprésent mais s’efface peu à peu en cette fin de matinée, non sans être trop menaçant. Mais tout de même les nuages nous obligeront à ne pas rester trop longtemps au lac par peur d’une averse.
Donc dans la montée au lac du Barn, les fleurs sont nombreuses, les myrtilles sont en fin de floraison et les fruits ne sont qu’au début. A noter que le myrtillier se promet à une bonne récolte.
L’eau est omniprésente, les cours d’eau sont chargés du fait des nombreux orages et des névés restant en ce début de printemps. Les marmottes se font entendre.
Puis nous arrivons au lac, majestueux, bien caché au pied des montagnes à quelques mètres du sentier. Invisible derrière une forêt de mélèzes, le lac est au sommet de sa côte maximale. L’eau est claire et un peut fraiche à la baignade !
Au retour, nous découvrirons la grassette, une des plantes carnivores du Mercantour, où elle piège les insectes grâce à des glandes odorantes et gluantes.
Le retour se terminera par un verre bien mérité à st Martin Vésubie.
Une randonnée très sympathique sans grande difficulté, facile et accessible et printanière

Lac du Barn, Un lac caché au cœur du Mercantour

Après plusieurs annulations pour cause de mauvais temps, Terres d’émotions est de retour dans la vallée de la vésubie au col de Salèse (soumis à autorisation).
C’est donc en descente que la randonnée commence pour aller à la vacherie de Mollières qui fait la jonction avec le sentier qui remonte au col du barn. Le soleil est omniprésent mais s’efface peu à peu en cette fin de matinée, non sans être trop menaçant. Mais tout de même les nuages nous obligeront à ne pas rester trop longtemps au lac par peur d’une averse.
Donc dans la montée au lac du Barn, les fleurs sont nombreuses, les myrtilles sont en fin de floraison et les fruits ne sont qu’au début. A noter que le myrtillier se promet à une bonne récolte.
L’eau est omniprésente, les cours d’eau sont chargés du fait des nombreux orages et des névés restant en ce début de printemps. Les marmottes se font entendre.
Puis nous arrivons au lac, majestueux, bien caché au pied des montagnes à quelques mètres du sentier. Invisible derrière une forêt de mélèzes, le lac est au sommet de sa côte maximale. L’eau est claire et un peut fraiche à la baignade !
Au retour, nous découvrirons la grassette, une des plantes carnivores du Mercantour, où elle piège les insectes grâce à des glandes odorantes et gluantes.
Le retour se terminera par un verre bien mérité à st Martin Vésubie.
Une randonnée très sympathique sans grande difficulté, facile et accessible et printanière

Cap Sicié, Notre dame du Mai

Aujourd’hui 13 participants se sont lancés à l’assaut de Notre dame du Mai. Alors en présence d’au moins deux voitures quoi de mieux que de faire une navette entre la plage de Fabregas et le brusc. Cela nous permet de faire la ligne de crête dans son intégralité.Du départ du parking de la Gardiole, la montée est progressive et la vue devient intéressante au fur et à mesure que l’on s’élève dans la pinède. Au loin les Embiez et en arrière fond La Ciotat et les calanques de Cassis. Quelques voiliers s’amusent avec le vent.A notre Dame du Mai, le soleil reste généreux et le déjeuner est pris au soleil. Au loin la tension nuageuse est à son comble et l’orage menace dans l’arrière pays de Toulon. Au cap sicié nous contournons les vestiges du poste photoélectrique qui éclairait le champ de tir de la batterie du Peyras située au-dessus.Au loin la pluie tombe en trombe. Le paysage est saisissant, les éclairs font parler leur puissance au milieu du Mont Faron.Pour se prémunir de futures averses, nous descendons rapidement le flan est du cap Sicié dans une flore exubérante. La garrigue nous montre ses plus belles fleurs.Finalement vers 15h00 la pluie se met à tomber , et nous invite à rejoindre Fabregas sanspour autant descendre sur des plages intermédiaires. Le soleil revient peu à peu et quelques érudit iront se baigner dans une eau calme à 17 °C.

Le parcours débute par un sentier en parallèle du sentier indiqué et déjà une petite mise en jambe avec des mains courantes. Le sentier taillé dans la roche, puis le pas de l’incise et c’est une grosse partie déjà de faite. Reste le plus dur, la montée au sommet.

Et ce n’est pas une mince affaire, il faut mettre un peu les mains avant d’arriver au sommet. La vue est extraordinaire ! de la mer à la montagne, toute la vallée de la Nervia. On distingue la roya au loin, les sommets enneigés du Marguareis, de la vallée des Merveilles, et aussi plus près de nous le sommet de Marta.

La descente se fera par la voie Alpine (la voie choisie par les italiens pour monter). Cette descente demande d’être très concentré, le chemin est équipé de mains courantes.

Le retour se fera par le contournement du mont Peïrevielle et une petite sieste à un petit col qui donne sur le colle melosa. Le soleil fait place au brouillard, mais globalement le temps a été très correct.

Une belle randonnée sur la crête frontalière où l’on change de pays à de nombreuses reprises.

Partis au départ du vallon de Bouyon, nous atteignons rapidement le canal de vegay. Construit en 1954, ce canal long de 21 kms prend vie à la cascade de vegay, traverse la montagne dans de multiples tunnels pour arriver à la station d’épuration de Bouyon. Delà, cette eau traitée repart en direction du sud par la canal de la gravière pour alimenter jusqu’à St Jeannet.

Une eau providentielle pour tout un territoire.

Situé derrière le pic du cap roux et le rastel d’Agay, les pics du perthus oriental et occidental culminant à 274 m offrent une vue imprenable sur la baie de St Raphaël. Le parcours passe par un petit étang où le lotus a élu domicile, traverse des forêts d’asphodèle, des gorges étroites comme le ravin du Perthus et pour finir le sommet du Perthus.

Le printemps est arrivé dans cette zone protégé de 140 km2 sur les 320km2 que compte le massif de L’Esterel. Ce massif vieux de 230 millions d’années à la géologie particulière avec des monolithes correspondant à d’ancienne cheminées éruptives; coloré par la ryolithe rouge témoin de 30 millions d’année de volcanisme.

Et puis après le déjeuner, la baignade dans une eau rare et providentielle, fraiche mais au combien agréable.

Le Sommet du countent et sa forêt de hêtres

près 1h45 de route nous voilà enfin au colle Melosa, et déjà beaucoup de voiture ! Comme quoi il faut s’attendre à voir du monde. Au final juste un groupe d’italien que nous avons suivi puis croisé, puis dépassé, puis perdu et retrouvé tant nos parcours ont été différents, même si nous sommes arrivés en même temps au sommet !

Le parcours débute par un sentier en parallèle du sentier indiqué et déjà une petite mise en jambe avec des mains courantes. Le sentier taillé dans la roche, puis le pas de l’incise et c’est une grosse partie déjà de faite. Reste le plus dur, la montée au sommet.

Et ce n’est pas une mince affaire, il faut mettre un peu les mains avant d’arriver au sommet. La vue est extraordinaire ! de la mer à la montagne, toute la vallée de la Nervia. On distingue la roya au loin, les sommets enneigés du Marguareis, de la vallée des Merveilles, et aussi plus près de nous le sommet de Marta.

La descente se fera par la voie Alpine (la voie choisie par les italiens pour monter). Cette descente demande d’être très concentré, le chemin est équipé de mains courantes.

Le retour se fera par le contournement du mont Peïrevielle et une petite sieste à un petit col qui donne sur le colle melosa. Le soleil fait place au brouillard, mais globalement le temps a été très correct.

Une belle randonnée sur la crête frontalière où l’on change de pays à de nombreuses reprises.

Partis au départ du vallon de Bouyon, nous atteignons rapidement le canal de vegay. Construit en 1954, ce canal long de 21 kms prend vie à la cascade de vegay, traverse la montagne dans de multiples tunnels pour arriver à la station d’épuration de Bouyon. Delà, cette eau traitée repart en direction du sud par la canal de la gravière pour alimenter jusqu’à St Jeannet.

Une eau providentielle pour tout un territoire.

Situé derrière le pic du cap roux et le rastel d’Agay, les pics du perthus oriental et occidental culminant à 274 m offrent une vue imprenable sur la baie de St Raphaël. Le parcours passe par un petit étang où le lotus a élu domicile, traverse des forêts d’asphodèle, des gorges étroites comme le ravin du Perthus et pour finir le sommet du Perthus.

Le printemps est arrivé dans cette zone protégé de 140 km2 sur les 320km2 que compte le massif de L’Esterel. Ce massif vieux de 230 millions d’années à la géologie particulière avec des monolithes correspondant à d’ancienne cheminées éruptives; coloré par la ryolithe rouge témoin de 30 millions d’année de volcanisme.

Et puis après le déjeuner, la baignade dans une eau rare et providentielle, fraiche mais au combien agréable.

Le Toraggio – un sommet mythique de Ligurie

près 1h45 de route nous voilà enfin au colle Melosa, et déjà beaucoup de voiture ! Comme quoi il faut s’attendre à voir du monde. Au final juste un groupe d’italien que nous avons suivi puis croisé, puis dépassé, puis perdu et retrouvé tant nos parcours ont été différents, même si nous sommes arrivés en même temps au sommet !

Le parcours débute par un sentier en parallèle du sentier indiqué et déjà une petite mise en jambe avec des mains courantes. Le sentier taillé dans la roche, puis le pas de l’incise et c’est une grosse partie déjà de faite. Reste le plus dur, la montée au sommet.

Et ce n’est pas une mince affaire, il faut mettre un peu les mains avant d’arriver au sommet. La vue est extraordinaire ! de la mer à la montagne, toute la vallée de la Nervia. On distingue la roya au loin, les sommets enneigés du Marguareis, de la vallée des Merveilles, et aussi plus près de nous le sommet de Marta.

La descente se fera par la voie Alpine (la voie choisie par les italiens pour monter). Cette descente demande d’être très concentré, le chemin est équipé de mains courantes.

Le retour se fera par le contournement du mont Peïrevielle et une petite sieste à un petit col qui donne sur le colle melosa. Le soleil fait place au brouillard, mais globalement le temps a été très correct.

Une belle randonnée sur la crête frontalière où l’on change de pays à de nombreuses reprises.

Partis au départ du vallon de Bouyon, nous atteignons rapidement le canal de vegay. Construit en 1954, ce canal long de 21 kms prend vie à la cascade de vegay, traverse la montagne dans de multiples tunnels pour arriver à la station d’épuration de Bouyon. Delà, cette eau traitée repart en direction du sud par la canal de la gravière pour alimenter jusqu’à St Jeannet.

Une eau providentielle pour tout un territoire.

Situé derrière le pic du cap roux et le rastel d’Agay, les pics du perthus oriental et occidental culminant à 274 m offrent une vue imprenable sur la baie de St Raphaël. Le parcours passe par un petit étang où le lotus a élu domicile, traverse des forêts d’asphodèle, des gorges étroites comme le ravin du Perthus et pour finir le sommet du Perthus.

Le printemps est arrivé dans cette zone protégé de 140 km2 sur les 320km2 que compte le massif de L’Esterel. Ce massif vieux de 230 millions d’années à la géologie particulière avec des monolithes correspondant à d’ancienne cheminées éruptives; coloré par la ryolithe rouge témoin de 30 millions d’année de volcanisme.

Et puis après le déjeuner, la baignade dans une eau rare et providentielle, fraiche mais au combien agréable.

L’Estellier -la table panoramique du Mercantour

Sommet proche du bord de mer mais au combien intéressant. Situé sur les contreforts de l’Estéron, l’estellier est une ligne de crête orientée est/ouest en direction du Cheiron.

Partis au départ du vallon de Bouyon, nous atteignons rapidement le canal de vegay. Construit en 1954, ce canal long de 21 kms prend vie à la cascade de vegay, traverse la montagne dans de multiples tunnels pour arriver à la station d’épuration de Bouyon. Delà, cette eau traitée repart en direction du sud par la canal de la gravière pour alimenter jusqu’à St Jeannet.

Une eau providentielle pour tout un territoire.

Situé derrière le pic du cap roux et le rastel d’Agay, les pics du perthus oriental et occidental culminant à 274 m offrent une vue imprenable sur la baie de St Raphaël. Le parcours passe par un petit étang où le lotus a élu domicile, traverse des forêts d’asphodèle, des gorges étroites comme le ravin du Perthus et pour finir le sommet du Perthus.

Le printemps est arrivé dans cette zone protégé de 140 km2 sur les 320km2 que compte le massif de L’Esterel. Ce massif vieux de 230 millions d’années à la géologie particulière avec des monolithes correspondant à d’ancienne cheminées éruptives; coloré par la ryolithe rouge témoin de 30 millions d’année de volcanisme.

Et puis après le déjeuner, la baignade dans une eau rare et providentielle, fraiche mais au combien agréable.

Au cœur des volcans de l’Esterel-Pic du Perthus

Pour connaitre un peu mieux l’Esterel et sortir des sentiers battus, d’autres pics tout aussi caractéristiques et moins connus sont intéressants à pratiquer en randonnée.

Situé derrière le pic du cap roux et le rastel d’Agay, les pics du perthus oriental et occidental culminant à 274 m offrent une vue imprenable sur la baie de St Raphaël. Le parcours passe par un petit étang où le lotus a élu domicile, traverse des forêts d’asphodèle, des gorges étroites comme le ravin du Perthus et pour finir le sommet du Perthus.

Le printemps est arrivé dans cette zone protégé de 140 km2 sur les 320km2 que compte le massif de L’Esterel. Ce massif vieux de 230 millions d’années à la géologie particulière avec des monolithes correspondant à d’ancienne cheminées éruptives; coloré par la ryolithe rouge témoin de 30 millions d’année de volcanisme.

Et puis après le déjeuner, la baignade dans une eau rare et providentielle, fraiche mais au combien agréable.

Les Meules et les oppidums de Bagnols en Forêt

Retour dans le Var pour cette randonnée à l’extrémité ouest de l’Estérel.

Départ de Bagnols en forêt, village Perché. Le sentier emprunté navigue à travers une forêt de pins, monte et descent puis rejoint les roches volcaniques du massif (éruptions datant 230 millions d’année). Les blocs rocheux forment des monolithes témoins d’anciennes cheminées volcaniques.

Nous rejoignons l’oppidum de la forteresse qui relié à la vigie de la Gardiette et à l’oppidum de Bayonne domine et contrôle le col de la Pierre du Coucou, sur la voie antique reliant Puget sur Argens et la vallée de l’argens avec l’arrière Pays Varois.