Au coeur de la Montagne
Pour la première fois, une randonnée pas comme les autres ce samedi. Afin de permettre une accessibilité du dôme de barrot facile, le départ de la randonnée se fait à partir du télésiège des éguilles.
Une montée tout en douceur pour se retrouver 380 m plus haut sans effort pour le départ du sentier. Une montée appréciée d’autant que pour certains, c’est le baptême du télésiège l’été.
Pour la première fois, une randonnée pas comme les autres ce samedi. Afin de permettre une accessibilité du dôme de barrot facile, le départ de la randonnée se fait à partir du télésiège des éguilles.
Une montée tout en douceur pour se retrouver 380 m plus haut sans effort pour le départ du sentier. Une montée appréciée d’autant que pour certains, c’est le baptême du télésiège l’été.
C’est d’abord une pelouse alpine fleuries d’orchidées que nous traversons, une entrée en forêt mystérieuse englouties par de nombreux ruisseaux encore tumultueux du fait de la fonte des neiges.
C’est d’abord une pelouse alpine fleuries d’orchidées que nous traversons, une entrée en forêt mystérieuse englouties par de nombreux ruisseaux encore tumultueux du fait de la fonte des neiges.
C’est par un petit sentier longeant un riou tantôt coulant ou asséché que nous arrivons à la villette. Ancien hameau pastoral dont il ne reste que la cabane du berger pouvant offrir juste un toit. L’entrée barrée par les ronces est difficilement accessible. Des ruines disséminées au loin ainsi que les nombreuses vieilles restanques témoignent d’une activité pastorale très ancienne.
Après l’unification de l’Italie en 1860 et l’annexion du comté de Nice et de la Savoie à la France, les relations entre la France et l’Italie se dégradent. La frontière étant dans la vallée au dessus de Fontan, l’Italie érige sur ses crêtes une série de six forts positionnés autour du col de Tende (Anciennement col de la Corne).
Première journée chaude, signifiant l’arrivée du printemps. Une bonne randonnée avec de la dénivelée sur les contrefort du Mounier. D’abord les prairies alpines au dessus du col de l’espaul pour arriver dans le désert calcaire du crétacé. Un bon déjeuner dans un petit coin tranquille à l’abri des regards pour un point de vue sur la vallée du Cians.
Le beau temps est encore présent le matin, mais souffre terriblement à l’approche de l’après midi. Toutefois c’est sous un grand soleil, que deux groupes bien séparés feront deux itinéraires distincts pour se rejoindre au moment du déjeuner. Mais tout en gardant la distanciation physique.
Les deux groupes partent du col de salèse. Un groupe emmené par le guide Justin prend la piste qui monte au col mercière puis une petite sente qui monte au lac de Tavels. Et un autre groupe emmené par Yohann ira au lacs de scluos et rejoindra hors sentier le lac de Tavels.
