Mont Falourde -Entre Var et Tinée.

A peine la voiture garée et déjà beaucoup de châtaignes à ramasser. Les sacs sont déjà plain avant de partir. Nous commençons à longer le canal de braux (étonnamment à sec malgré les pluies). Une visite du petit hameau de Chabrières, témoin de l’ancienne vie pastorale qu’il y avait dans la vallée du Coulomp.

Les lacs de vens, L’autre source de la Tinée

Superbe journée au soleil sans avoir trop chaud. Montée tranquille à un rythme de 300 m/h dans la forêt à l’ombre.Le sentier en zig zag nous fait monter en altitude tranquillement en observant les fleurs et les animaux. Puis c’est l’éperon glaciaire qui nous fait découvrir les lacs de vens disposés les uns sur les autres.

Plateau de Longon, Porte du Mercantour

La neige reste encore présente en altitude, et s’efface peu à peu en moyenne montagne. La nature revit lentement et c’est déjà les nouvelles fleurs de printemps qui resurgissent. C’est donc les crocus, la fritillaire, la gagée, la saxifrage,  et bien d’autres fleurs qui auront été aperçus aujourd’hui. Le sentier monte rapidement au plateau de longon en passant par la magnifique cascade aux eaux tumultueuses dont la fonte en est responsable. La rivière à sec l’été déborde par endroit. Le plateau est sous les eaux. Le déjeuner est pris à la bergerie, quand soudain nous remarquons au loin une harde de cerfs et biches (environ 40 individus), les jumelles aidant ! et c’est aussi une 20 aine de marmottes et des chamois qui auront été aperçus gambadant partout dans la montagne.Par dessus la ligne de crête, le hameau de vignols  et le mounier dans toute sa splendeur. Une belle journée agréable au soleil, des animaux à foison et une flore magnifique. Un beau cocktail pour passer une bonne journée en compagnie d’un super groupe !

Lauvet de Roubion, Les buisses

8 jours après les grosses chutes de neige, terres d’émotions s’aventure sur les crêtes dominant les Buisses.
Un parcours 100% dans la neige en bordure de piste. Puis arrivée à la baisse de Tavanière, la neige se fait plus abondante. Remontée sur la croupe pour se mettre en face nord du Lauvet d’ilonse. Super paysage de valonné à plat. Une magnifique vue sur les alentours avec le Mounier, le grand Capelet et le Mont Bego en toile de fond. Une dernière montée pour aller au lauvet de Roubion et dominer toute la vallée de la Tinée. Le déjeuner est pris au sommet sur une petite partie déneigée. Retour par le même chemin Directement par les piste de ski des Buisses.Randonnée conclue en mode détente pars un verre de l’amitié .
Une bonne journée au soleil pour une des dernière randonnée en raquettes sauf chute de neige exceptionnelle.

Vallon de demandols -Tinée

Le vallon de Demandols est un vallon bien caché derrière St Etienne de Tinée. Au début une route puis une piste. Il faut bien connaitre car la piste s’arrête subitement à cause d’éboulements dus à la tempête Aline.

Donc finalement on part 2.5 km plus bas. Mais que cela ne tienne, malgré les -7 °C au départ, le soleil nous réchauffe un peu. Mais ce n’est pas sans compter le nombre d’espèces vus pendant cette journée.

C’est d’abord un couple de Gypaète barbu aperçu au loin puis de près, ensuite deux énormes cerfs (   de 1600 m d’altitude !!) des biches, puis des bouquetins, et enfin un renard. Ajouter à cela des traces de cerfs dans la neige, de renard, de lièvre et d’écureuil…

Une randonnée le long du vallon de Demandols face au plus hauts sommets du Mercantour, la cime de pal saupoudrée de neige. Le sentier serpente le long du vallon, enneigé il offre des couleurs magnifiques.

Quelques torrents glacés sont à traverser, mais c’est en arrivant sur la cabane de Demandols que nous sommes malheureusement bloqué par un torrent en cascade gelé. Impossible de passer sans les crampons. L’eau est complètement gelée. Donc demi tour pour déjeuner au soleil. La montagne manque cruellement de neige. Espérons que la semaine soit neigeuse pour commencer à sortir les raquettes !!

Collet de Burente. Hameau de Roya

L’automne s’est bien installé dans nos montagne. Les mélèzes perdent peu à peu leurs aiguilles. Les feuillus ont déjà perdu toutes leurs feuilles sauf à basse altitude où les couleurs jaunes contrastes avec le vert des conifères.

Nous remontons le vallon du riou, torrent ponctué de nombreuses cascades avec une eau limpide. La pente s’adoucit en sortie de forêt, les granges d’autrefois sont disséminées un peu partout sur des bordures de crête où jadis les cultures en restanques animaient le paysage. Ici une bergerie en ruine, d’autre granges servant au fourrage. La présence de l’homme autrefois contraste avec l’absence de randonneurs sur ce lieu de montagne laissant découvrir la barre nord du Mounier au fur et à mesure de notre avancement.

Hameau de Vignols, Berceau du Gypaëte

Découverte du Hameau de Vignols à pied à partir de Roubion. C’est à partir d’une petite sente perdue que nous nous dirigeons Vers Vignols.
Le sentier parsemée de différentes variétés de fleurs est un régal pour les yeux. Entre autres les habituels fleurs, on y trouve le lys orangé et l’ancolie. Les premières myrtilles font leur apparition. L’ombre du chemin fait place à la chaleur écrasante des hautes pâturages de Vignols baignés par le soleil. L’eau coule en abondance et nous rafraichie. Alors pour conserver cette fraicheur, nous choisissons notre aire de pique nique au bord de la vionène près d’une petite vasque nous tentant pour une baignade. Une petite chute d’eau, une eau claire et nous voici rapidement à 5 dans cette petite vasque pour profiter d’une eau à bonne température. Après le déjeuner nous  partons en direction de la Balme de la Fiero, une cavité façonnée par les éléments, une cargneule magnifique parsemée de trous synonyme d’une érosion importante.Quelques vautours dans le ciel s’amusent avec les chocards, il est temps de redescendre sur Roubion au milieu du même sentier qu’à l’aller. Une belle journée randonnée dans le Parc du Mercantour, comme on les aime.

Les Lacs Morgon, Bijou du Mercantour

Départ D’Isola 2000 pour ce tour du Malinvern et une petite montée à la baisse du druos en passant par les lacs de Terres rouge. Le soleil est bien présent et éclaire les montagnes encore enneigées. Les lacs Valscura s’illuminent de leur eaux turquoises.

Le pique nique est pris au lac, le paysage est magnifique. Une sieste s’impose avant la remontée au pas de Valscura qui nous emmènera au lac Malinvern. La montée est en zig zag , après déjeuner , la montée est rude et le  col est le bien venu.

Quelques névés en face nord nous obligent à la prudence, d’autant que la pente est raide. 350 m plus bas nous voici au lac Malinvern où nous installons le bivouac au bord du lac. Une baignade s’impose, même si l’eau est froide, mais ça nous fait du bien à tous en guise de décontraction des muscles.

3 tentes sont plantées ainsi qu’une bâche pour éviter la rosée du matin sur les duvets. Étant hors d’un parc national, nous ferons un petit feu histoire de se réchauffer un peu en fin de soirée. La nuit se passe, pas de vent, à une bonne température.

Le lendemain, levé 7 h pour préparer le pdj et tout replier pour aborder cette nouvelle journée. D’abord en descente jusqu’au refuge Malinvern, où un petit arrêt de 25 min sera fait pour bien se préparer psychologiquement pour une remontée de 600 m jusqu’au pas d’Orgials. D’autant que la montée se fait au soleil.

Arrivés au lac d’Orgials, une petite pause avec une vue magnifique. Beaucoup marmottes de part et d’autres du sentier, quelques bouquetins et des chamois. Le pas d’Orgials fatigue les organismes, le soleil tape, alors c’est en redescendant du pierrier et au bord d’une source miraculeuse que nous déjeunons et prenons notre temps pour aborder la fin du parcours avec une remontée au col e la lombarde et une descente vers Isola 2000.

Le parcours passe dans quelques pierriers, des montées subites et une arrivée aux voitures à 16h40. Une fin de parcours éprouvante, mais un paysage magnifique tout au long de ces deux jours.

Une bonne expérience pour l’ensemble des participants dans ce parcours à une altitude moyenne de 2000 m d’altitude pour 21 kms et 1717 m de dénivelées positives

Yohann Accompagnateur Terres d’émotions
C’est donc en descente que la randonnée commence pour aller à la vacherie de Mollières qui fait la jonction avec le sentier qui remonte au col du barn. Le soleil est omniprésent mais s’efface peu à peu en cette fin de matinée, non sans être trop menaçant. Mais tout de même les nuages nous obligeront à ne pas rester trop longtemps au lac par peur d’une averse.
Donc dans la montée au lac du Barn, les fleurs sont nombreuses, les myrtilles sont en fin de floraison et les fruits ne sont qu’au début. A noter que le myrtillier se promet à une bonne récolte.
L’eau est omniprésente, les cours d’eau sont chargés du fait des nombreux orages et des névés restant en ce début de printemps. Les marmottes se font entendre.
Puis nous arrivons au lac, majestueux, bien caché au pied des montagnes à quelques mètres du sentier. Invisible derrière une forêt de mélèzes, le lac est au sommet de sa côte maximale. L’eau est claire et un peut fraiche à la baignade !
Au retour, nous découvrirons la grassette, une des plantes carnivores du Mercantour, où elle piège les insectes grâce à des glandes odorantes et gluantes.
Le retour se terminera par un verre bien mérité à st Martin Vésubie.
Une randonnée très sympathique sans grande difficulté, facile et accessible et printanière

WE Bivouac -Tour du Malinvern

Départ D’Isola 2000 pour ce tour du Malinvern et une petite montée à la baisse du druos en passant par les lacs de Terres rouge. Le soleil est bien présent et éclaire les montagnes encore enneigées. Les lacs Valscura s’illuminent de leur eaux turquoises.

Le pique nique est pris au lac, le paysage est magnifique. Une sieste s’impose avant la remontée au pas de Valscura qui nous emmènera au lac Malinvern. La montée est en zig zag , après déjeuner , la montée est rude et le  col est le bien venu.

Quelques névés en face nord nous obligent à la prudence, d’autant que la pente est raide. 350 m plus bas nous voici au lac Malinvern où nous installons le bivouac au bord du lac. Une baignade s’impose, même si l’eau est froide, mais ça nous fait du bien à tous en guise de décontraction des muscles.

3 tentes sont plantées ainsi qu’une bâche pour éviter la rosée du matin sur les duvets. Étant hors d’un parc national, nous ferons un petit feu histoire de se réchauffer un peu en fin de soirée. La nuit se passe, pas de vent, à une bonne température.

Le lendemain, levé 7 h pour préparer le pdj et tout replier pour aborder cette nouvelle journée. D’abord en descente jusqu’au refuge Malinvern, où un petit arrêt de 25 min sera fait pour bien se préparer psychologiquement pour une remontée de 600 m jusqu’au pas d’Orgials. D’autant que la montée se fait au soleil.

Arrivés au lac d’Orgials, une petite pause avec une vue magnifique. Beaucoup marmottes de part et d’autres du sentier, quelques bouquetins et des chamois. Le pas d’Orgials fatigue les organismes, le soleil tape, alors c’est en redescendant du pierrier et au bord d’une source miraculeuse que nous déjeunons et prenons notre temps pour aborder la fin du parcours avec une remontée au col e la lombarde et une descente vers Isola 2000.

Le parcours passe dans quelques pierriers, des montées subites et une arrivée aux voitures à 16h40. Une fin de parcours éprouvante, mais un paysage magnifique tout au long de ces deux jours.

Une bonne expérience pour l’ensemble des participants dans ce parcours à une altitude moyenne de 2000 m d’altitude pour 21 kms et 1717 m de dénivelées positives

Yohann Accompagnateur Terres d’émotions
C’est donc en descente que la randonnée commence pour aller à la vacherie de Mollières qui fait la jonction avec le sentier qui remonte au col du barn. Le soleil est omniprésent mais s’efface peu à peu en cette fin de matinée, non sans être trop menaçant. Mais tout de même les nuages nous obligeront à ne pas rester trop longtemps au lac par peur d’une averse.
Donc dans la montée au lac du Barn, les fleurs sont nombreuses, les myrtilles sont en fin de floraison et les fruits ne sont qu’au début. A noter que le myrtillier se promet à une bonne récolte.
L’eau est omniprésente, les cours d’eau sont chargés du fait des nombreux orages et des névés restant en ce début de printemps. Les marmottes se font entendre.
Puis nous arrivons au lac, majestueux, bien caché au pied des montagnes à quelques mètres du sentier. Invisible derrière une forêt de mélèzes, le lac est au sommet de sa côte maximale. L’eau est claire et un peut fraiche à la baignade !
Au retour, nous découvrirons la grassette, une des plantes carnivores du Mercantour, où elle piège les insectes grâce à des glandes odorantes et gluantes.
Le retour se terminera par un verre bien mérité à st Martin Vésubie.
Une randonnée très sympathique sans grande difficulté, facile et accessible et printanière

Splendeurs hivernales aux Lacs de Terres rouge

Suite au récentes chutes de neige, il était naturel de partir à cette découverte 2023 des lacs de Terres rouges. Une neige de qualité , poudreuse sur l’ensemble du parcours.

Après être sorti du domaine skiable, le parcours s’enfonce dans l’immensité blanche à travers les mélèzes et les pins cembro. Et puis les arbres font place à un espace vierge enneigé. La trace serpente entre les rochers et les micro-vallons. Rapidement on se retrouve en surplomb des lacs de terres rouges. Une magnifique vue sur la vallée. La baisse du druos n’est pas loin.

Alors pour aller voir  ce qu’il y a de l’autre côté, quelques érudits tombent leur sac pour s’alléger et montent les 100 derniers mètres. Au col une vue unique sur les lacs italiens, l’argentera  sera vue avec le drone. Mais en haut un paysage à couper le souffle.

Puis au moment du déjeuner, en guise de dessert, petit vin chaud servi pour tout le monde. La recette ? une préparation authentique avec des produits du terroir dans un petit bocal. Il a suffit de rajouter les oranges et le vin rouge. Le tout chauffé au réchaud.

Une préparation bienvenue fédératrice. Comme toujours, Terres d’émotions rassemble, fédère et crée de véritables moments de convivialité.

Quoi de mieux que des les admirer lors d’un petit parcours de 13 kms et 480 m de D+. Un parcours bucolique facile le long d’une rivière et de divers sentiers tantôt dans des vallées ou en lignes de crêtes où les mimosas sont partout à des degrés diverses de floraison.

Loin de l’agitation du flot de touristes nous profitons en quasi exclusivité des chemins de traverses qui nous offrent cette couleur jaune abondante de part et d’autres du sentier.

Introduit au XVIII siècle, cet arbre d’origine australienne s’exporte à travers le monde. Quelques variétés sont présentes dans le massif associées à l’eucalyptus de Gunn avec ses feuilles rondes. Le mimosas à de multiples propriétés médicinales. Il peut aussi servir à des préparations culinaires, et dans la construction de l’habitat. Le déjeuner est pris au soleil avec une superbe vue sur la plaine de Fayence et Caillan. Bref, une randonnée plaisante dans une bonne ambiance de partage

La neige fait cruellement défaut (surtout en face sud). Le parcours pour aller au lac des Grenouilles se fera dans le vallon de fontanalbe, là où la neige est encore bien présente.

Un  paysage grandiose et une neige de qualité au dessus de 1900 m. La neige reste pas trop transformée. Quelques chamois s’amusent sur les pentes, de nombreuses traces d’écureuil au sol, mais aussi des traces de renard et de lièvre Variable. Le soleil est généreux, et très peu de vent.

Nous arrivons au lac des grenouille en le surplombant  par le côté ouest. Le lac enneigé est suffisamment solide pour que nous le traversions. Déjeuner au soleil sur un rocher. On aurait pu y rester des heures  !

Retour par la piste pour compléter ce parcours par une boucle. La fin de la randonnée se conclura par un verre de l’amitié (ou plutôt une tarte maison et un chocolat au gite Marie Madeleine.

Au départ du boréon, la neige est présente miraculeusement après une vallée bien tristounette en neige. La vallée meurtie par la tempête Alex de 2020 et le sentier de départ dans les bois s’est effacé pour faire place à une vallée élargie de cailloux.

Au bout de 40 min nous atteignons le restaurant l’Alpage auquel nous reviendrons déjeuner le midi. La curiosité nous pousse à marcher dans une neige très peu transformée mais qui par moment fait défaut. Le pont de peirastreche arrive à nos pieds, le vent est froid, nous redescendons se mettre au chaud au restaurant.

Il commence à neigeoter timidement, sentiment de réconfort qui cette fois-ci tombera à pique versus la semaine dernière où le soleil généreux et les températures douces nous invitait à manger dehors.
Aujourd’hui, le départ sera donné à Roya, hameau pastoral de la Tinée situé en altitude au bout d’une route partiellement enneigée. Au début le sentier est une piste qui descend dans la forêt pour traverser la rivière via une passerelle.
Montée progressive pour déboucher sur des grandes étendues enneigées. La trace monte vers le col de crous, mais nous décidons de faire nos propres traces en allant vers la montagne de l’Alp.
Une belle poudreuse nous accueille, le temps est magnifique. Le déjeuner sera pris en face du col de Crous et face au Mounier. Une galette est sortie du sac accompagné d’une bouteille. Un bon moment convivial qui profite à tous. La descente se fera « hors sentier » dans les divers pentes pour redescendre dans la vallée, des belles sensations de glisse au milieu des mélèzes loin du chemin initial. De bonne sensations de liberté. Retour à la passerelle de ce matin pour une petit parcours le long de la rivière.
Une belle randonnée toujours dans une super ambiance
Yohann Accompagnateur Terres d’émotions