Rando resto et Galette à la Calmette

A peine la voiture garée et déjà beaucoup de châtaignes à ramasser. Les sacs sont déjà plain avant de partir. Nous commençons à longer le canal de braux (étonnamment à sec malgré les pluies). Une visite du petit hameau de Chabrières, témoin de l’ancienne vie pastorale qu’il y avait dans la vallée du Coulomp.

Réveillon 2024 -Madone de fenestre

A peine la voiture garée et déjà beaucoup de châtaignes à ramasser. Les sacs sont déjà plain avant de partir. Nous commençons à longer le canal de braux (étonnamment à sec malgré les pluies). Une visite du petit hameau de Chabrières, témoin de l’ancienne vie pastorale qu’il y avait dans la vallée du Coulomp.

Cime de Bonvillars, Entre Vésubie et Paillon

A peine la voiture garée et déjà beaucoup de châtaignes à ramasser. Les sacs sont déjà plain avant de partir. Nous commençons à longer le canal de braux (étonnamment à sec malgré les pluies). Une visite du petit hameau de Chabrières, témoin de l’ancienne vie pastorale qu’il y avait dans la vallée du Coulomp.

Pas de Fréfouns et lac Nègre

A peine la voiture garée et déjà beaucoup de châtaignes à ramasser. Les sacs sont déjà plain avant de partir. Nous commençons à longer le canal de braux (étonnamment à sec malgré les pluies). Une visite du petit hameau de Chabrières, témoin de l’ancienne vie pastorale qu’il y avait dans la vallée du Coulomp.

Les lacs cachés de Frémamorte

L’été est toujours bien présent en montagne quand le soleil n’est pas voilé par les nuages. Départ du col de salèse pour rejoindre les lacs. Un départ salutaire qui évite la montée à partir du parking (route soumise à autorisation). La montée est ponctuée de petits arrêt « myrtilles », très nombreuses cette année. Un vrai délice ! Le déjeuner est pris au lac avec une petite baignade rafraichissante dans le grand lac supérieur. Une eau évaluée à 11°C.

Rando Resto – Galette L’alpage- Le Boréon

C’est parti pour une nouvelle sortie avec un Minibus fier de partager l’aventure Terres d’émotions. Inauguration cette fois au Boréon pour une randonnée raquettes (euh…crampons), puis mixte, mais en chaussures déjà ! Le manque neige est criant mais cela ne freine pas le groupe pour monter au pont de peirastreche malgré des températures proche du zéro (c’est à dire pas de température du tout !). Le paysage reste magnifique, même avec ce manque de neige, c’est un bon bol d’air pur.
Au pont, c’est l’heure de faire demi- tour pour être à l’heure au restaurant. On choisi une variante entre les sapins, pour aller au devant de nouvelle piste. On passe devant les cabanes dans les arbres, puis arrivée au restaurant pour un apéro bien mérité.
Delphine nous accueille à bras ouvert dans son magnifique chalet qui respire l’authenticité de la montagne et des bons petits plats maison. Une bonne table au coin du feu, avec un menu très succulent qui se termine par une galette des rois à l’aurore du mois de janvier.
Après 2 heures de repas, c’est reparti pour naviguer sur les pistes menant au parking du boréon, toujours sur une neige intermittente et des plaques de glace.

Lac de la Fous, Refuge de Nice-La gordolasque

Pas beaucoup de monde sur le parking « hiver » ce matin. La neige bloque la route nous montons au pont du countet à pied. Les nuages bloquent l’arrivée du soleil, la neige est peu présente dans le vallon, mais suffit à mettre les raquettes au pont du countet. Au moins cela évite de glisser sur la glace.
Montée tranquille au mur des Italiens, le soleil se décide enfin à sortir. La neige est poudreuse et nécessite les raquettes sinon ça enfonce ! Puis arrivée au lac majestueux. Il n’est pas pris par la glace, donc, il faut le contourner pour aller au refuge.
Une partie du groupe décide de rester au barrage tandis que l’autre partie va au refuge. Pas facile de traverser le torrent qui descend du lac long supérieur. Heureusement une vieille coulée de neige nous aide à passer.
Arrivée au refuge au grand soleil, la vue est magnifique. Et bizarrement personne ce dimanche sur site. Comme si la montagne avait été réservée par Terres d’émotions.
Une belle journée au soleil et toujours un splendide panorama

L’Authion -Col de Raus, Cime de Tuor -Mercantour

Ce dimanche Terres d’émotions était à l’Authion, haut lieu historique de la dernière guerre mondiale. Une journée placée sous le signe d’un hommage à Sylvie, qui nous manque. A ce titre une grosse partie des bénéfices de cette randonnée a été reversée aux enfants pour qu’il puissent bénéficier d’une journée en montagne sur la forme de leur choix (canyonning, parapente, rafting etc…).Nous saluons la présence de Christophe son mari ainsi que le groupe toujours fidèle. Cette journée est aussi spéciale, puisqu’elle sera sous le signe d’un pique nique participatif écologique ou chacun aura préparé du sucré et salé pour que chacun puisse gouter les meilleurs plats des uns des autres.Afin de compléter le dessert, je ferai quelques crêpes.Après une petite sieste, et sous la chaleur de l’altitude nous rejoignons les voitures après quelques mètres de dénivelées, malheureusement.
Une belle journée randonnée dans le Parc du Mercantour, comme on les aime avec un groupe au top.

Lac Nègre et lacs de Bresses, Salèse – Mercantour

Au cœur du Mercantour, les lacs nègres et ceux des Bresses offrent au randonneur, un paysage magnifique.Partis du col de salèse, le lac nègre est atteint en une heure. Une petite montée et nous voici sur une ligne de crête qui domine le lac nègre, un des plus grand du Mercantour.La ligne de crête offre une vue sur les plus hauts sommets. En continuant, nous arrivons aux lacs de bresses où nous profiterons d’une petite baignade. Retour dans les pentes herbeuses pour retourner au minibusUne belle journée randonnée dans le Parc du Mercantour, comme on les aime.Yohann Accompagnateur Terres d’émotions

Lac du Barn, Un lac caché au cœur du Mercantour

Après plusieurs annulations pour cause de mauvais temps, Terres d’émotions est de retour dans la vallée de la vésubie au col de Salèse (soumis à autorisation).
C’est donc en descente que la randonnée commence pour aller à la vacherie de Mollières qui fait la jonction avec le sentier qui remonte au col du barn. Le soleil est omniprésent mais s’efface peu à peu en cette fin de matinée, non sans être trop menaçant. Mais tout de même les nuages nous obligeront à ne pas rester trop longtemps au lac par peur d’une averse.
Donc dans la montée au lac du Barn, les fleurs sont nombreuses, les myrtilles sont en fin de floraison et les fruits ne sont qu’au début. A noter que le myrtillier se promet à une bonne récolte.
L’eau est omniprésente, les cours d’eau sont chargés du fait des nombreux orages et des névés restant en ce début de printemps. Les marmottes se font entendre.
Puis nous arrivons au lac, majestueux, bien caché au pied des montagnes à quelques mètres du sentier. Invisible derrière une forêt de mélèzes, le lac est au sommet de sa côte maximale. L’eau est claire et un peut fraiche à la baignade !
Au retour, nous découvrirons la grassette, une des plantes carnivores du Mercantour, où elle piège les insectes grâce à des glandes odorantes et gluantes.
Le retour se terminera par un verre bien mérité à st Martin Vésubie.
Une randonnée très sympathique sans grande difficulté, facile et accessible et printanière