Cap Sicié, Notre dame du Mai

Aujourd’hui 13 participants se sont lancés à l’assaut de Notre dame du Mai. Alors en présence d’au moins deux voitures quoi de mieux que de faire une navette entre la plage de Fabregas et le brusc. Cela nous permet de faire la ligne de crête dans son intégralité.Du départ du parking de la Gardiole, la montée est progressive et la vue devient intéressante au fur et à mesure que l’on s’élève dans la pinède. Au loin les Embiez et en arrière fond La Ciotat et les calanques de Cassis. Quelques voiliers s’amusent avec le vent.A notre Dame du Mai, le soleil reste généreux et le déjeuner est pris au soleil. Au loin la tension nuageuse est à son comble et l’orage menace dans l’arrière pays de Toulon. Au cap sicié nous contournons les vestiges du poste photoélectrique qui éclairait le champ de tir de la batterie du Peyras située au-dessus.Au loin la pluie tombe en trombe. Le paysage est saisissant, les éclairs font parler leur puissance au milieu du Mont Faron.Pour se prémunir de futures averses, nous descendons rapidement le flan est du cap Sicié dans une flore exubérante. La garrigue nous montre ses plus belles fleurs.Finalement vers 15h00 la pluie se met à tomber , et nous invite à rejoindre Fabregas sanspour autant descendre sur des plages intermédiaires. Le soleil revient peu à peu et quelques érudit iront se baigner dans une eau calme à 17 °C.

Le parcours débute par un sentier en parallèle du sentier indiqué et déjà une petite mise en jambe avec des mains courantes. Le sentier taillé dans la roche, puis le pas de l’incise et c’est une grosse partie déjà de faite. Reste le plus dur, la montée au sommet.

Et ce n’est pas une mince affaire, il faut mettre un peu les mains avant d’arriver au sommet. La vue est extraordinaire ! de la mer à la montagne, toute la vallée de la Nervia. On distingue la roya au loin, les sommets enneigés du Marguareis, de la vallée des Merveilles, et aussi plus près de nous le sommet de Marta.

La descente se fera par la voie Alpine (la voie choisie par les italiens pour monter). Cette descente demande d’être très concentré, le chemin est équipé de mains courantes.

Le retour se fera par le contournement du mont Peïrevielle et une petite sieste à un petit col qui donne sur le colle melosa. Le soleil fait place au brouillard, mais globalement le temps a été très correct.

Une belle randonnée sur la crête frontalière où l’on change de pays à de nombreuses reprises.

Partis au départ du vallon de Bouyon, nous atteignons rapidement le canal de vegay. Construit en 1954, ce canal long de 21 kms prend vie à la cascade de vegay, traverse la montagne dans de multiples tunnels pour arriver à la station d’épuration de Bouyon. Delà, cette eau traitée repart en direction du sud par la canal de la gravière pour alimenter jusqu’à St Jeannet.

Une eau providentielle pour tout un territoire.

Situé derrière le pic du cap roux et le rastel d’Agay, les pics du perthus oriental et occidental culminant à 274 m offrent une vue imprenable sur la baie de St Raphaël. Le parcours passe par un petit étang où le lotus a élu domicile, traverse des forêts d’asphodèle, des gorges étroites comme le ravin du Perthus et pour finir le sommet du Perthus.

Le printemps est arrivé dans cette zone protégé de 140 km2 sur les 320km2 que compte le massif de L’Esterel. Ce massif vieux de 230 millions d’années à la géologie particulière avec des monolithes correspondant à d’ancienne cheminées éruptives; coloré par la ryolithe rouge témoin de 30 millions d’année de volcanisme.

Et puis après le déjeuner, la baignade dans une eau rare et providentielle, fraiche mais au combien agréable.

Le Sommet du countent et sa forêt de hêtres

près 1h45 de route nous voilà enfin au colle Melosa, et déjà beaucoup de voiture ! Comme quoi il faut s’attendre à voir du monde. Au final juste un groupe d’italien que nous avons suivi puis croisé, puis dépassé, puis perdu et retrouvé tant nos parcours ont été différents, même si nous sommes arrivés en même temps au sommet !

Le parcours débute par un sentier en parallèle du sentier indiqué et déjà une petite mise en jambe avec des mains courantes. Le sentier taillé dans la roche, puis le pas de l’incise et c’est une grosse partie déjà de faite. Reste le plus dur, la montée au sommet.

Et ce n’est pas une mince affaire, il faut mettre un peu les mains avant d’arriver au sommet. La vue est extraordinaire ! de la mer à la montagne, toute la vallée de la Nervia. On distingue la roya au loin, les sommets enneigés du Marguareis, de la vallée des Merveilles, et aussi plus près de nous le sommet de Marta.

La descente se fera par la voie Alpine (la voie choisie par les italiens pour monter). Cette descente demande d’être très concentré, le chemin est équipé de mains courantes.

Le retour se fera par le contournement du mont Peïrevielle et une petite sieste à un petit col qui donne sur le colle melosa. Le soleil fait place au brouillard, mais globalement le temps a été très correct.

Une belle randonnée sur la crête frontalière où l’on change de pays à de nombreuses reprises.

Partis au départ du vallon de Bouyon, nous atteignons rapidement le canal de vegay. Construit en 1954, ce canal long de 21 kms prend vie à la cascade de vegay, traverse la montagne dans de multiples tunnels pour arriver à la station d’épuration de Bouyon. Delà, cette eau traitée repart en direction du sud par la canal de la gravière pour alimenter jusqu’à St Jeannet.

Une eau providentielle pour tout un territoire.

Situé derrière le pic du cap roux et le rastel d’Agay, les pics du perthus oriental et occidental culminant à 274 m offrent une vue imprenable sur la baie de St Raphaël. Le parcours passe par un petit étang où le lotus a élu domicile, traverse des forêts d’asphodèle, des gorges étroites comme le ravin du Perthus et pour finir le sommet du Perthus.

Le printemps est arrivé dans cette zone protégé de 140 km2 sur les 320km2 que compte le massif de L’Esterel. Ce massif vieux de 230 millions d’années à la géologie particulière avec des monolithes correspondant à d’ancienne cheminées éruptives; coloré par la ryolithe rouge témoin de 30 millions d’année de volcanisme.

Et puis après le déjeuner, la baignade dans une eau rare et providentielle, fraiche mais au combien agréable.

Le Toraggio – un sommet mythique de Ligurie

près 1h45 de route nous voilà enfin au colle Melosa, et déjà beaucoup de voiture ! Comme quoi il faut s’attendre à voir du monde. Au final juste un groupe d’italien que nous avons suivi puis croisé, puis dépassé, puis perdu et retrouvé tant nos parcours ont été différents, même si nous sommes arrivés en même temps au sommet !

Le parcours débute par un sentier en parallèle du sentier indiqué et déjà une petite mise en jambe avec des mains courantes. Le sentier taillé dans la roche, puis le pas de l’incise et c’est une grosse partie déjà de faite. Reste le plus dur, la montée au sommet.

Et ce n’est pas une mince affaire, il faut mettre un peu les mains avant d’arriver au sommet. La vue est extraordinaire ! de la mer à la montagne, toute la vallée de la Nervia. On distingue la roya au loin, les sommets enneigés du Marguareis, de la vallée des Merveilles, et aussi plus près de nous le sommet de Marta.

La descente se fera par la voie Alpine (la voie choisie par les italiens pour monter). Cette descente demande d’être très concentré, le chemin est équipé de mains courantes.

Le retour se fera par le contournement du mont Peïrevielle et une petite sieste à un petit col qui donne sur le colle melosa. Le soleil fait place au brouillard, mais globalement le temps a été très correct.

Une belle randonnée sur la crête frontalière où l’on change de pays à de nombreuses reprises.

Partis au départ du vallon de Bouyon, nous atteignons rapidement le canal de vegay. Construit en 1954, ce canal long de 21 kms prend vie à la cascade de vegay, traverse la montagne dans de multiples tunnels pour arriver à la station d’épuration de Bouyon. Delà, cette eau traitée repart en direction du sud par la canal de la gravière pour alimenter jusqu’à St Jeannet.

Une eau providentielle pour tout un territoire.

Situé derrière le pic du cap roux et le rastel d’Agay, les pics du perthus oriental et occidental culminant à 274 m offrent une vue imprenable sur la baie de St Raphaël. Le parcours passe par un petit étang où le lotus a élu domicile, traverse des forêts d’asphodèle, des gorges étroites comme le ravin du Perthus et pour finir le sommet du Perthus.

Le printemps est arrivé dans cette zone protégé de 140 km2 sur les 320km2 que compte le massif de L’Esterel. Ce massif vieux de 230 millions d’années à la géologie particulière avec des monolithes correspondant à d’ancienne cheminées éruptives; coloré par la ryolithe rouge témoin de 30 millions d’année de volcanisme.

Et puis après le déjeuner, la baignade dans une eau rare et providentielle, fraiche mais au combien agréable.

L’Estellier -la table panoramique du Mercantour

Sommet proche du bord de mer mais au combien intéressant. Situé sur les contreforts de l’Estéron, l’estellier est une ligne de crête orientée est/ouest en direction du Cheiron.

Partis au départ du vallon de Bouyon, nous atteignons rapidement le canal de vegay. Construit en 1954, ce canal long de 21 kms prend vie à la cascade de vegay, traverse la montagne dans de multiples tunnels pour arriver à la station d’épuration de Bouyon. Delà, cette eau traitée repart en direction du sud par la canal de la gravière pour alimenter jusqu’à St Jeannet.

Une eau providentielle pour tout un territoire.

Situé derrière le pic du cap roux et le rastel d’Agay, les pics du perthus oriental et occidental culminant à 274 m offrent une vue imprenable sur la baie de St Raphaël. Le parcours passe par un petit étang où le lotus a élu domicile, traverse des forêts d’asphodèle, des gorges étroites comme le ravin du Perthus et pour finir le sommet du Perthus.

Le printemps est arrivé dans cette zone protégé de 140 km2 sur les 320km2 que compte le massif de L’Esterel. Ce massif vieux de 230 millions d’années à la géologie particulière avec des monolithes correspondant à d’ancienne cheminées éruptives; coloré par la ryolithe rouge témoin de 30 millions d’année de volcanisme.

Et puis après le déjeuner, la baignade dans une eau rare et providentielle, fraiche mais au combien agréable.

Au cœur des volcans de l’Esterel-Pic du Perthus

Pour connaitre un peu mieux l’Esterel et sortir des sentiers battus, d’autres pics tout aussi caractéristiques et moins connus sont intéressants à pratiquer en randonnée.

Situé derrière le pic du cap roux et le rastel d’Agay, les pics du perthus oriental et occidental culminant à 274 m offrent une vue imprenable sur la baie de St Raphaël. Le parcours passe par un petit étang où le lotus a élu domicile, traverse des forêts d’asphodèle, des gorges étroites comme le ravin du Perthus et pour finir le sommet du Perthus.

Le printemps est arrivé dans cette zone protégé de 140 km2 sur les 320km2 que compte le massif de L’Esterel. Ce massif vieux de 230 millions d’années à la géologie particulière avec des monolithes correspondant à d’ancienne cheminées éruptives; coloré par la ryolithe rouge témoin de 30 millions d’année de volcanisme.

Et puis après le déjeuner, la baignade dans une eau rare et providentielle, fraiche mais au combien agréable.

Les Meules et les oppidums de Bagnols en Forêt

Retour dans le Var pour cette randonnée à l’extrémité ouest de l’Estérel.

Départ de Bagnols en forêt, village Perché. Le sentier emprunté navigue à travers une forêt de pins, monte et descent puis rejoint les roches volcaniques du massif (éruptions datant 230 millions d’année). Les blocs rocheux forment des monolithes témoins d’anciennes cheminées volcaniques.

Nous rejoignons l’oppidum de la forteresse qui relié à la vigie de la Gardiette et à l’oppidum de Bayonne domine et contrôle le col de la Pierre du Coucou, sur la voie antique reliant Puget sur Argens et la vallée de l’argens avec l’arrière Pays Varois.

Les crêtes de l’Estéron, une dorsale infinie

Fabuleuse rivière, l’estéron prend sa source au pied du Teillon (1893 m). C’est ici que nous démarrons la randonnée. L’estéron est un petit ru, sage, un maigre filet d’eau, en ces temps de sécheresse avant de se faire rejoindre par de nombreux affluents.

Parvenu au col des portes, le choix s’oriente donc vers la ligne de crête s’étirant vers L’est. La végétation tente de trouver de la place dans ce paysage calcaire, le sentier se fait parfois hésitant.

Ici aucune indication ! laissant à l’imagination son propre parcours. Alors situés sur cette crête à 1712 m d’altitude où  l’estéron est 700 m plus bas la vue qui s’offre à nous est panoramique sur les différentes vallées allant du Verdon, au Mercantour.

Le soleil n’est pas aussi généreux qu’espéré, les nuages parviennent à notre niveau . La neige fine fera son apparition après le déjeuner. Alors nous orientons le parcours en descente à partir du Col bas.

Descente dans cette formidable forêt de hêtres où les arbres s’embrassent ou bien se joignent pour ne faire plus qu’un. Le soleil revient quand nous sommes dans la pleine inondant de Soleil, le beau village authentique de St Auban.

Un beau parcours sauvage sans rencontrer âme qui vive, loin de toute agitation touristique. La ligne de crête pour nous seul et ça c’est la meilleure des ressources.

Yohann Accompagnateur Terres d’émotions

Beauté naturelle du Haut Var – La Roche Trouée de Sauze

Ce matin, c’est à Guillaumes que nous commençons une montée ombragée dans la forêt automnales pour rapidement arriver à la roche trouée. Une arche extraordinaire témoin d’un lointain passé géologique. Puis le chemin nous mène à Sauze, petit hameau du 12 siècle profitant d’une belle vue sur la vallée du var.

WE – Entre sommets et eaux turquoises de Castillon- Gite de la Baume

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Lacs de Terres rouges – Lacs Valscura -Lac de Tavel – Italie – Isola 2000

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