PIc du Cap Roux, Grotte St Honorat -Esterel

Pour monter au Cap Roux, il existe toujours les mêmes sentiers. Alors Terres d’émotions a voulu innover en proposant les sentier annexes, ceux qui sont à peine marqués sur la carte mais qui normalement existent.
Donc c’est parti ce matin par un sentier pas très entretenu qui part de la voie ferrée et revient sur la voie ferrée à 200 m près des voitures mais pour 40 minutes de marche !!
On traverse la voie ferrée pour remonter un vallon située sous le col de St Pilon. Puis descente et remontée à la grotte St Honorat. Une grotte habitée au 4eme siècle par St Honorat qui viendra évangéliser le pays de Fréjus autrefois occupé par les Romains. Il fondera plus tard le monastère de l’ile qui portera son nom. Il finira Evêques d’Arles. Le monastère formera de nombreux évêques qui iront prêché la bonne parole à travers l’Europe.
Le temps est magnifique, pas de vent. Puis remontée au pic du Cap Roux avant de déjeuner pour finir la l’ascension et profiter du panorama exceptionnel. Une belle vue mer et sur la Corse à 360°. Une vue sur les montagnes enneigées du Mercantour.

Cap Sicié, Notre dame du Mai

Aujourd’hui 13 participants se sont lancés à l’assaut de Notre dame du Mai. Alors en présence d’au moins deux voitures quoi de mieux que de faire une navette entre la plage de Fabregas et le brusc. Cela nous permet de faire la ligne de crête dans son intégralité.Du départ du parking de la Gardiole, la montée est progressive et la vue devient intéressante au fur et à mesure que l’on s’élève dans la pinède. Au loin les Embiez et en arrière fond La Ciotat et les calanques de Cassis. Quelques voiliers s’amusent avec le vent.A notre Dame du Mai, le soleil reste généreux et le déjeuner est pris au soleil. Au loin la tension nuageuse est à son comble et l’orage menace dans l’arrière pays de Toulon. Au cap sicié nous contournons les vestiges du poste photoélectrique qui éclairait le champ de tir de la batterie du Peyras située au-dessus.Au loin la pluie tombe en trombe. Le paysage est saisissant, les éclairs font parler leur puissance au milieu du Mont Faron.Pour se prémunir de futures averses, nous descendons rapidement le flan est du cap Sicié dans une flore exubérante. La garrigue nous montre ses plus belles fleurs.Finalement vers 15h00 la pluie se met à tomber , et nous invite à rejoindre Fabregas sanspour autant descendre sur des plages intermédiaires. Le soleil revient peu à peu et quelques érudit iront se baigner dans une eau calme à 17 °C.

Le parcours débute par un sentier en parallèle du sentier indiqué et déjà une petite mise en jambe avec des mains courantes. Le sentier taillé dans la roche, puis le pas de l’incise et c’est une grosse partie déjà de faite. Reste le plus dur, la montée au sommet.

Et ce n’est pas une mince affaire, il faut mettre un peu les mains avant d’arriver au sommet. La vue est extraordinaire ! de la mer à la montagne, toute la vallée de la Nervia. On distingue la roya au loin, les sommets enneigés du Marguareis, de la vallée des Merveilles, et aussi plus près de nous le sommet de Marta.

La descente se fera par la voie Alpine (la voie choisie par les italiens pour monter). Cette descente demande d’être très concentré, le chemin est équipé de mains courantes.

Le retour se fera par le contournement du mont Peïrevielle et une petite sieste à un petit col qui donne sur le colle melosa. Le soleil fait place au brouillard, mais globalement le temps a été très correct.

Une belle randonnée sur la crête frontalière où l’on change de pays à de nombreuses reprises.

Partis au départ du vallon de Bouyon, nous atteignons rapidement le canal de vegay. Construit en 1954, ce canal long de 21 kms prend vie à la cascade de vegay, traverse la montagne dans de multiples tunnels pour arriver à la station d’épuration de Bouyon. Delà, cette eau traitée repart en direction du sud par la canal de la gravière pour alimenter jusqu’à St Jeannet.

Une eau providentielle pour tout un territoire.

Situé derrière le pic du cap roux et le rastel d’Agay, les pics du perthus oriental et occidental culminant à 274 m offrent une vue imprenable sur la baie de St Raphaël. Le parcours passe par un petit étang où le lotus a élu domicile, traverse des forêts d’asphodèle, des gorges étroites comme le ravin du Perthus et pour finir le sommet du Perthus.

Le printemps est arrivé dans cette zone protégé de 140 km2 sur les 320km2 que compte le massif de L’Esterel. Ce massif vieux de 230 millions d’années à la géologie particulière avec des monolithes correspondant à d’ancienne cheminées éruptives; coloré par la ryolithe rouge témoin de 30 millions d’année de volcanisme.

Et puis après le déjeuner, la baignade dans une eau rare et providentielle, fraiche mais au combien agréable.

Au cœur des volcans de l’Esterel-Pic du Perthus

Pour connaitre un peu mieux l’Esterel et sortir des sentiers battus, d’autres pics tout aussi caractéristiques et moins connus sont intéressants à pratiquer en randonnée.

Situé derrière le pic du cap roux et le rastel d’Agay, les pics du perthus oriental et occidental culminant à 274 m offrent une vue imprenable sur la baie de St Raphaël. Le parcours passe par un petit étang où le lotus a élu domicile, traverse des forêts d’asphodèle, des gorges étroites comme le ravin du Perthus et pour finir le sommet du Perthus.

Le printemps est arrivé dans cette zone protégé de 140 km2 sur les 320km2 que compte le massif de L’Esterel. Ce massif vieux de 230 millions d’années à la géologie particulière avec des monolithes correspondant à d’ancienne cheminées éruptives; coloré par la ryolithe rouge témoin de 30 millions d’année de volcanisme.

Et puis après le déjeuner, la baignade dans une eau rare et providentielle, fraiche mais au combien agréable.

Les Meules et les oppidums de Bagnols en Forêt

Retour dans le Var pour cette randonnée à l’extrémité ouest de l’Estérel.

Départ de Bagnols en forêt, village Perché. Le sentier emprunté navigue à travers une forêt de pins, monte et descent puis rejoint les roches volcaniques du massif (éruptions datant 230 millions d’année). Les blocs rocheux forment des monolithes témoins d’anciennes cheminées volcaniques.

Nous rejoignons l’oppidum de la forteresse qui relié à la vigie de la Gardiette et à l’oppidum de Bayonne domine et contrôle le col de la Pierre du Coucou, sur la voie antique reliant Puget sur Argens et la vallée de l’argens avec l’arrière Pays Varois.

Cap Bénat, Cap Blanc. Deux caps face aux iles du levant et Port Cros

En ce mois de janvier exceptionnellement ensoleillé, et le peu de neige en montagne nous amène à découvrir le bord de mer varois. Une randonnée exceptionnelle au départ de Bormes les mimosas jusqu’au Cap Blanc et cap bénat.

Un parcours sur un sentier des douanier côtier montant et descendant le long des rochers escarpés. Une multitude de couleurs d’une mer calme avec en horizon les iles du levant et de Port Cros.

Partis de la plage des favière, la petite sente se fraye un chemin parmi la roche cristalline des fonds marine, tantôt au bord du rivage, tantôt surplombant la mer. La végétation méditerranéenne est bien présente comme l’oxalis en fleur nous fait découvrir ses vertus pharmaceutiques (anti-inflammatoire, diurétique…) et est comestible en salade.

Collobrières, la Capitale de la Chataigne

Afin de connaitre les alentours, la randonnée d’aujourd’hui parcours 12kms autour du village sur des crêtes panoramiques, au milieu des menhirs, d’une souche de châtaignier vielle de 1000 ans. En descendant dans le vallon de la malière, nous nous arrêtons pour déjeuner et faire flamber des châtaigne au feu de bois. Bon moment convivial suppléé par le ramassage de châtaigne un peu plus bas dans la vallée.

Sillans La Cascade. Baignade aux Eaux turquoises de la Bresque

La météo du Mercantour nous joue des tours et rend impossible une randonnée en altitude. Plus clémente dans le Var la météo, Terres d’émotions adapte la randonnée en conservant la dénivelée initiale et le lien avec l’eau. Endroit tout trouvé à Sillans la cascade.
Alors qu’il pleut dans le Mercantour et sur le littoral niçois, dans l’ouest du Var c’est le soleil qui s’impose. Le sentier du littoral nous fait découvrir les merveilles de la roche battue par la mer et les vents, les fleurs printanières, la mer et ses plages.

Non quelle nous attendait. Elle est restée rayonnante pour le plaisir de nos yeux. Qui dit reprise dit dénivelée mesuré. 400 m pour aller au Challas, un promontoire au dessus du Cians.

Effort d’un sommet et réconfort d’une baignade dans l’estérel

Aujourd’hui nous étions au lac Autier..euh pardon dans le Golf de St Tropez pour profiter d’un large soleil.

Alors qu’il pleut dans le Mercantour et sur le littoral niçois, dans l’ouest du Var c’est le soleil qui s’impose. Le sentier du littoral nous fait découvrir les merveilles de la roche battue par la mer et les vents, les fleurs printanières, la mer et ses plages.

Non quelle nous attendait. Elle est restée rayonnante pour le plaisir de nos yeux. Qui dit reprise dit dénivelée mesuré. 400 m pour aller au Challas, un promontoire au dessus du Cians.

Plaisirs retrouvés d’une baignade dans les eaux claires de St Tropez

Aujourd’hui nous étions au lac Autier..euh pardon dans le Golf de St Tropez pour profiter d’un large soleil.

Alors qu’il pleut dans le Mercantour et sur le littoral niçois, dans l’ouest du Var c’est le soleil qui s’impose. Le sentier du littoral nous fait découvrir les merveilles de la roche battue par la mer et les vents, les fleurs printanières, la mer et ses plages.

Non quelle nous attendait. Elle est restée rayonnante pour le plaisir de nos yeux. Qui dit reprise dit dénivelée mesuré. 400 m pour aller au Challas, un promontoire au dessus du Cians.