L’Estellier -la table panoramique du Mercantour

Sommet proche du bord de mer mais au combien intéressant. Situé sur les contreforts de l’Estéron, l’estellier est une ligne de crête orientée est/ouest en direction du Cheiron.

Partis au départ du vallon de Bouyon, nous atteignons rapidement le canal de vegay. Construit en 1954, ce canal long de 21 kms prend vie à la cascade de vegay, traverse la montagne dans de multiples tunnels pour arriver à la station d’épuration de Bouyon. Delà, cette eau traitée repart en direction du sud par la canal de la gravière pour alimenter jusqu’à St Jeannet.

Une eau providentielle pour tout un territoire.

Situé derrière le pic du cap roux et le rastel d’Agay, les pics du perthus oriental et occidental culminant à 274 m offrent une vue imprenable sur la baie de St Raphaël. Le parcours passe par un petit étang où le lotus a élu domicile, traverse des forêts d’asphodèle, des gorges étroites comme le ravin du Perthus et pour finir le sommet du Perthus.

Le printemps est arrivé dans cette zone protégé de 140 km2 sur les 320km2 que compte le massif de L’Esterel. Ce massif vieux de 230 millions d’années à la géologie particulière avec des monolithes correspondant à d’ancienne cheminées éruptives; coloré par la ryolithe rouge témoin de 30 millions d’année de volcanisme.

Et puis après le déjeuner, la baignade dans une eau rare et providentielle, fraiche mais au combien agréable.

Au cœur des volcans de l’Esterel-Pic du Perthus

Pour connaitre un peu mieux l’Esterel et sortir des sentiers battus, d’autres pics tout aussi caractéristiques et moins connus sont intéressants à pratiquer en randonnée.

Situé derrière le pic du cap roux et le rastel d’Agay, les pics du perthus oriental et occidental culminant à 274 m offrent une vue imprenable sur la baie de St Raphaël. Le parcours passe par un petit étang où le lotus a élu domicile, traverse des forêts d’asphodèle, des gorges étroites comme le ravin du Perthus et pour finir le sommet du Perthus.

Le printemps est arrivé dans cette zone protégé de 140 km2 sur les 320km2 que compte le massif de L’Esterel. Ce massif vieux de 230 millions d’années à la géologie particulière avec des monolithes correspondant à d’ancienne cheminées éruptives; coloré par la ryolithe rouge témoin de 30 millions d’année de volcanisme.

Et puis après le déjeuner, la baignade dans une eau rare et providentielle, fraiche mais au combien agréable.

Les Meules et les oppidums de Bagnols en Forêt

Retour dans le Var pour cette randonnée à l’extrémité ouest de l’Estérel.

Départ de Bagnols en forêt, village Perché. Le sentier emprunté navigue à travers une forêt de pins, monte et descent puis rejoint les roches volcaniques du massif (éruptions datant 230 millions d’année). Les blocs rocheux forment des monolithes témoins d’anciennes cheminées volcaniques.

Nous rejoignons l’oppidum de la forteresse qui relié à la vigie de la Gardiette et à l’oppidum de Bayonne domine et contrôle le col de la Pierre du Coucou, sur la voie antique reliant Puget sur Argens et la vallée de l’argens avec l’arrière Pays Varois.

Les crêtes de l’Estéron, une dorsale infinie

Fabuleuse rivière, l’estéron prend sa source au pied du Teillon (1893 m). C’est ici que nous démarrons la randonnée. L’estéron est un petit ru, sage, un maigre filet d’eau, en ces temps de sécheresse avant de se faire rejoindre par de nombreux affluents.

Parvenu au col des portes, le choix s’oriente donc vers la ligne de crête s’étirant vers L’est. La végétation tente de trouver de la place dans ce paysage calcaire, le sentier se fait parfois hésitant.

Ici aucune indication ! laissant à l’imagination son propre parcours. Alors situés sur cette crête à 1712 m d’altitude où  l’estéron est 700 m plus bas la vue qui s’offre à nous est panoramique sur les différentes vallées allant du Verdon, au Mercantour.

Le soleil n’est pas aussi généreux qu’espéré, les nuages parviennent à notre niveau . La neige fine fera son apparition après le déjeuner. Alors nous orientons le parcours en descente à partir du Col bas.

Descente dans cette formidable forêt de hêtres où les arbres s’embrassent ou bien se joignent pour ne faire plus qu’un. Le soleil revient quand nous sommes dans la pleine inondant de Soleil, le beau village authentique de St Auban.

Un beau parcours sauvage sans rencontrer âme qui vive, loin de toute agitation touristique. La ligne de crête pour nous seul et ça c’est la meilleure des ressources.

Yohann Accompagnateur Terres d’émotions

Splendeurs hivernales aux Lacs de Terres rouge

Suite au récentes chutes de neige, il était naturel de partir à cette découverte 2023 des lacs de Terres rouges. Une neige de qualité , poudreuse sur l’ensemble du parcours.

Après être sorti du domaine skiable, le parcours s’enfonce dans l’immensité blanche à travers les mélèzes et les pins cembro. Et puis les arbres font place à un espace vierge enneigé. La trace serpente entre les rochers et les micro-vallons. Rapidement on se retrouve en surplomb des lacs de terres rouges. Une magnifique vue sur la vallée. La baisse du druos n’est pas loin.

Alors pour aller voir  ce qu’il y a de l’autre côté, quelques érudits tombent leur sac pour s’alléger et montent les 100 derniers mètres. Au col une vue unique sur les lacs italiens, l’argentera  sera vue avec le drone. Mais en haut un paysage à couper le souffle.

Puis au moment du déjeuner, en guise de dessert, petit vin chaud servi pour tout le monde. La recette ? une préparation authentique avec des produits du terroir dans un petit bocal. Il a suffit de rajouter les oranges et le vin rouge. Le tout chauffé au réchaud.

Une préparation bienvenue fédératrice. Comme toujours, Terres d’émotions rassemble, fédère et crée de véritables moments de convivialité.

Quoi de mieux que des les admirer lors d’un petit parcours de 13 kms et 480 m de D+. Un parcours bucolique facile le long d’une rivière et de divers sentiers tantôt dans des vallées ou en lignes de crêtes où les mimosas sont partout à des degrés diverses de floraison.

Loin de l’agitation du flot de touristes nous profitons en quasi exclusivité des chemins de traverses qui nous offrent cette couleur jaune abondante de part et d’autres du sentier.

Introduit au XVIII siècle, cet arbre d’origine australienne s’exporte à travers le monde. Quelques variétés sont présentes dans le massif associées à l’eucalyptus de Gunn avec ses feuilles rondes. Le mimosas à de multiples propriétés médicinales. Il peut aussi servir à des préparations culinaires, et dans la construction de l’habitat. Le déjeuner est pris au soleil avec une superbe vue sur la plaine de Fayence et Caillan. Bref, une randonnée plaisante dans une bonne ambiance de partage

La neige fait cruellement défaut (surtout en face sud). Le parcours pour aller au lac des Grenouilles se fera dans le vallon de fontanalbe, là où la neige est encore bien présente.

Un  paysage grandiose et une neige de qualité au dessus de 1900 m. La neige reste pas trop transformée. Quelques chamois s’amusent sur les pentes, de nombreuses traces d’écureuil au sol, mais aussi des traces de renard et de lièvre Variable. Le soleil est généreux, et très peu de vent.

Nous arrivons au lac des grenouille en le surplombant  par le côté ouest. Le lac enneigé est suffisamment solide pour que nous le traversions. Déjeuner au soleil sur un rocher. On aurait pu y rester des heures  !

Retour par la piste pour compléter ce parcours par une boucle. La fin de la randonnée se conclura par un verre de l’amitié (ou plutôt une tarte maison et un chocolat au gite Marie Madeleine.

Au départ du boréon, la neige est présente miraculeusement après une vallée bien tristounette en neige. La vallée meurtie par la tempête Alex de 2020 et le sentier de départ dans les bois s’est effacé pour faire place à une vallée élargie de cailloux.

Au bout de 40 min nous atteignons le restaurant l’Alpage auquel nous reviendrons déjeuner le midi. La curiosité nous pousse à marcher dans une neige très peu transformée mais qui par moment fait défaut. Le pont de peirastreche arrive à nos pieds, le vent est froid, nous redescendons se mettre au chaud au restaurant.

Il commence à neigeoter timidement, sentiment de réconfort qui cette fois-ci tombera à pique versus la semaine dernière où le soleil généreux et les températures douces nous invitait à manger dehors.
Aujourd’hui, le départ sera donné à Roya, hameau pastoral de la Tinée situé en altitude au bout d’une route partiellement enneigée. Au début le sentier est une piste qui descend dans la forêt pour traverser la rivière via une passerelle.
Montée progressive pour déboucher sur des grandes étendues enneigées. La trace monte vers le col de crous, mais nous décidons de faire nos propres traces en allant vers la montagne de l’Alp.
Une belle poudreuse nous accueille, le temps est magnifique. Le déjeuner sera pris en face du col de Crous et face au Mounier. Une galette est sortie du sac accompagné d’une bouteille. Un bon moment convivial qui profite à tous. La descente se fera “hors sentier” dans les divers pentes pour redescendre dans la vallée, des belles sensations de glisse au milieu des mélèzes loin du chemin initial. De bonne sensations de liberté. Retour à la passerelle de ce matin pour une petit parcours le long de la rivière.
Une belle randonnée toujours dans une super ambiance
Yohann Accompagnateur Terres d’émotions

Le Mimosas du Tanneron – splendeur florale

C’est au plein cœur de l’hiver que les mimosas fleurissent un peu partout dans le départements. Mais c’est dans le massif du Tanneron qui sont les plus nombreux.

Quoi de mieux que des les admirer lors d’un petit parcours de 13 kms et 480 m de D+. Un parcours bucolique facile le long d’une rivière et de divers sentiers tantôt dans des vallées ou en lignes de crêtes où les mimosas sont partout à des degrés diverses de floraison.

Loin de l’agitation du flot de touristes nous profitons en quasi exclusivité des chemins de traverses qui nous offrent cette couleur jaune abondante de part et d’autres du sentier.

Introduit au XVIII siècle, cet arbre d’origine australienne s’exporte à travers le monde. Quelques variétés sont présentes dans le massif associées à l’eucalyptus de Gunn avec ses feuilles rondes. Le mimosas à de multiples propriétés médicinales. Il peut aussi servir à des préparations culinaires, et dans la construction de l’habitat. Le déjeuner est pris au soleil avec une superbe vue sur la plaine de Fayence et Caillan. Bref, une randonnée plaisante dans une bonne ambiance de partage

La neige fait cruellement défaut (surtout en face sud). Le parcours pour aller au lac des Grenouilles se fera dans le vallon de fontanalbe, là où la neige est encore bien présente.

Un  paysage grandiose et une neige de qualité au dessus de 1900 m. La neige reste pas trop transformée. Quelques chamois s’amusent sur les pentes, de nombreuses traces d’écureuil au sol, mais aussi des traces de renard et de lièvre Variable. Le soleil est généreux, et très peu de vent.

Nous arrivons au lac des grenouille en le surplombant  par le côté ouest. Le lac enneigé est suffisamment solide pour que nous le traversions. Déjeuner au soleil sur un rocher. On aurait pu y rester des heures  !

Retour par la piste pour compléter ce parcours par une boucle. La fin de la randonnée se conclura par un verre de l’amitié (ou plutôt une tarte maison et un chocolat au gite Marie Madeleine.

Au départ du boréon, la neige est présente miraculeusement après une vallée bien tristounette en neige. La vallée meurtie par la tempête Alex de 2020 et le sentier de départ dans les bois s’est effacé pour faire place à une vallée élargie de cailloux.

Au bout de 40 min nous atteignons le restaurant l’Alpage auquel nous reviendrons déjeuner le midi. La curiosité nous pousse à marcher dans une neige très peu transformée mais qui par moment fait défaut. Le pont de peirastreche arrive à nos pieds, le vent est froid, nous redescendons se mettre au chaud au restaurant.

Il commence à neigeoter timidement, sentiment de réconfort qui cette fois-ci tombera à pique versus la semaine dernière où le soleil généreux et les températures douces nous invitait à manger dehors.
Aujourd’hui, le départ sera donné à Roya, hameau pastoral de la Tinée situé en altitude au bout d’une route partiellement enneigée. Au début le sentier est une piste qui descend dans la forêt pour traverser la rivière via une passerelle.
Montée progressive pour déboucher sur des grandes étendues enneigées. La trace monte vers le col de crous, mais nous décidons de faire nos propres traces en allant vers la montagne de l’Alp.
Une belle poudreuse nous accueille, le temps est magnifique. Le déjeuner sera pris en face du col de Crous et face au Mounier. Une galette est sortie du sac accompagné d’une bouteille. Un bon moment convivial qui profite à tous. La descente se fera “hors sentier” dans les divers pentes pour redescendre dans la vallée, des belles sensations de glisse au milieu des mélèzes loin du chemin initial. De bonne sensations de liberté. Retour à la passerelle de ce matin pour une petit parcours le long de la rivière.
Une belle randonnée toujours dans une super ambiance
Yohann Accompagnateur Terres d’émotions

Lac des Grenouilles -Merveilles de Casterino

Terres d’émotions est de retour dans la vallée de la Roya après deux ans d’absence. Les stigmates de la tempête Alex sont toujours présents. La route est toujours en construction, mais c’est appréciable de pouvoir revenir à Casterino.

La neige fait cruellement défaut (surtout en face sud). Le parcours pour aller au lac des Grenouilles se fera dans le vallon de fontanalbe, là où la neige est encore bien présente.

Un  paysage grandiose et une neige de qualité au dessus de 1900 m. La neige reste pas trop transformée. Quelques chamois s’amusent sur les pentes, de nombreuses traces d’écureuil au sol, mais aussi des traces de renard et de lièvre Variable. Le soleil est généreux, et très peu de vent.

Nous arrivons au lac des grenouille en le surplombant  par le côté ouest. Le lac enneigé est suffisamment solide pour que nous le traversions. Déjeuner au soleil sur un rocher. On aurait pu y rester des heures  !

Retour par la piste pour compléter ce parcours par une boucle. La fin de la randonnée se conclura par un verre de l’amitié (ou plutôt une tarte maison et un chocolat au gite Marie Madeleine.

Au départ du boréon, la neige est présente miraculeusement après une vallée bien tristounette en neige. La vallée meurtie par la tempête Alex de 2020 et le sentier de départ dans les bois s’est effacé pour faire place à une vallée élargie de cailloux.

Au bout de 40 min nous atteignons le restaurant l’Alpage auquel nous reviendrons déjeuner le midi. La curiosité nous pousse à marcher dans une neige très peu transformée mais qui par moment fait défaut. Le pont de peirastreche arrive à nos pieds, le vent est froid, nous redescendons se mettre au chaud au restaurant.

Il commence à neigeoter timidement, sentiment de réconfort qui cette fois-ci tombera à pique versus la semaine dernière où le soleil généreux et les températures douces nous invitait à manger dehors.
Aujourd’hui, le départ sera donné à Roya, hameau pastoral de la Tinée situé en altitude au bout d’une route partiellement enneigée. Au début le sentier est une piste qui descend dans la forêt pour traverser la rivière via une passerelle.
Montée progressive pour déboucher sur des grandes étendues enneigées. La trace monte vers le col de crous, mais nous décidons de faire nos propres traces en allant vers la montagne de l’Alp.
Une belle poudreuse nous accueille, le temps est magnifique. Le déjeuner sera pris en face du col de Crous et face au Mounier. Une galette est sortie du sac accompagné d’une bouteille. Un bon moment convivial qui profite à tous. La descente se fera “hors sentier” dans les divers pentes pour redescendre dans la vallée, des belles sensations de glisse au milieu des mélèzes loin du chemin initial. De bonne sensations de liberté. Retour à la passerelle de ce matin pour une petit parcours le long de la rivière.
Une belle randonnée toujours dans une super ambiance
Yohann Accompagnateur Terres d’émotions

Les sources de la Barlatte, Gorges de Saucha Negra

Le sentier commence en descente pour rejoindre le moulin de la barlatte. Moulin autrefois utilisé pour fabriquer la farine. Un système ingénieux de prise d’eau dans la barlatte amenait l’eau par un canal, puis descendait avec force dans un conduit pour faire tourner une meule.
Ce moulin a été restauré. Le sentier remonte pour rejoindre un autre canal beaucoup plus ancien qui prenait l’eau à la sortie des gorges. Ce canal a été détruit par des crues successives. Le déjeuner est pris sur les bords de rive de la rivière. Ainsi qu’une petite baignade improvisée dans les eaux tumultueuses et limoneuses de la rivière.
Les différents orages de presque  tous les jours dans la vallée du var arrachent la roches friable aux alentours Encore quelques montées et nous rejoignons la route qui nous mène à Chateaneuf d’Entraunes.
Une petite visite du village et cette randonnée se termine par un petit verre au bistrot de pays.

Le sentier se rétrécie, puis les parois se rapprochent et l’entrée du premier tunnel est là devant nous avec ses vieilles poutres en bois avec le canal couvert au milieu. Il faut se baisser un peu.

Puis quelques mètres plus loin le long canal de plus de 300 m, plus de 10 minutes de marche. A l’entrée du tunnel, les eaux du canal se jettent littéralement  dans le tunnel. Alors aidé de la frontale nous progressons dans cette petite rivière souterraine dont la faible hauteur d’eau mouillent quelque peu les chaussures.

Le déjeuner est pris à l’ombre face à St Etienne de Tinée. Le canal construit en 1949 continue sont parcours pour irriguer les restanque d’Ublan située sous le col d’annelle.

Une bien bonne journée à l’ombre des sous bois et sans effort !!

La crête de la Blanche, Panorama du Mercantour

Montée douce pour commencer à travers les mélèzes, sous un ciel lumineux, et sous la lune encore présente. La forêt fait place à la prairie d’alpage. Un troupeau de mouton fait sonner les cloches sous l’œil aviser des chiens de troupeau. Le berger est présent, la Cabane de l’Alpe veille à l’aube de la transhumance.