Lac de l’agnel, Au coeur de l’automne

L’automne 2024 fait son apparition dans le vallon de Casterino. Il fait beau, pas un souffle de vent. Après 750 m de D+ nous voilà au lac. en chemins quelques chamois et bouquetins.
Les mélèzes deviennent couleur or et offrent un dégradé de couleurs avec les feuillus et autres conifères. Le déjeuner sera pris au lac. Un lac artificiel rehaussé pour les besoin hydroélectrique, mais magnifique de par sa taille. Coincé à la frontière italienne dont le plus haut sommet du secteur est la pointe charnassière. Une baignade s’improvise avant manger. L’eau est froide mais la baignade possible. Quelques minutes dans l’eau pour valider la baignade dans le lac pour deux courageux. Dans la descente un grand corbeau  nous approche de près avant de remonter dans les airs. Les bouquetins nous observent de leur promontoire. Nous redescendons tranquillement après quelques pauses méritée

Lac Nègre et lacs de Bresses, Salèse – Mercantour

Au cœur du Mercantour, les lacs nègres et ceux des Bresses offrent au randonneur, un paysage magnifique.Partis du col de salèse, le lac nègre est atteint en une heure. Une petite montée et nous voici sur une ligne de crête qui domine le lac nègre, un des plus grand du Mercantour.La ligne de crête offre une vue sur les plus hauts sommets. En continuant, nous arrivons aux lacs de bresses où nous profiterons d’une petite baignade. Retour dans les pentes herbeuses pour retourner au minibusUne belle journée randonnée dans le Parc du Mercantour, comme on les aime.Yohann Accompagnateur Terres d’émotions

Les Lacs Morgon, Bijou du Mercantour

Départ D’Isola 2000 pour ce tour du Malinvern et une petite montée à la baisse du druos en passant par les lacs de Terres rouge. Le soleil est bien présent et éclaire les montagnes encore enneigées. Les lacs Valscura s’illuminent de leur eaux turquoises.

Le pique nique est pris au lac, le paysage est magnifique. Une sieste s’impose avant la remontée au pas de Valscura qui nous emmènera au lac Malinvern. La montée est en zig zag , après déjeuner , la montée est rude et le  col est le bien venu.

Quelques névés en face nord nous obligent à la prudence, d’autant que la pente est raide. 350 m plus bas nous voici au lac Malinvern où nous installons le bivouac au bord du lac. Une baignade s’impose, même si l’eau est froide, mais ça nous fait du bien à tous en guise de décontraction des muscles.

3 tentes sont plantées ainsi qu’une bâche pour éviter la rosée du matin sur les duvets. Étant hors d’un parc national, nous ferons un petit feu histoire de se réchauffer un peu en fin de soirée. La nuit se passe, pas de vent, à une bonne température.

Le lendemain, levé 7 h pour préparer le pdj et tout replier pour aborder cette nouvelle journée. D’abord en descente jusqu’au refuge Malinvern, où un petit arrêt de 25 min sera fait pour bien se préparer psychologiquement pour une remontée de 600 m jusqu’au pas d’Orgials. D’autant que la montée se fait au soleil.

Arrivés au lac d’Orgials, une petite pause avec une vue magnifique. Beaucoup marmottes de part et d’autres du sentier, quelques bouquetins et des chamois. Le pas d’Orgials fatigue les organismes, le soleil tape, alors c’est en redescendant du pierrier et au bord d’une source miraculeuse que nous déjeunons et prenons notre temps pour aborder la fin du parcours avec une remontée au col e la lombarde et une descente vers Isola 2000.

Le parcours passe dans quelques pierriers, des montées subites et une arrivée aux voitures à 16h40. Une fin de parcours éprouvante, mais un paysage magnifique tout au long de ces deux jours.

Une bonne expérience pour l’ensemble des participants dans ce parcours à une altitude moyenne de 2000 m d’altitude pour 21 kms et 1717 m de dénivelées positives

Yohann Accompagnateur Terres d’émotions
C’est donc en descente que la randonnée commence pour aller à la vacherie de Mollières qui fait la jonction avec le sentier qui remonte au col du barn. Le soleil est omniprésent mais s’efface peu à peu en cette fin de matinée, non sans être trop menaçant. Mais tout de même les nuages nous obligeront à ne pas rester trop longtemps au lac par peur d’une averse.
Donc dans la montée au lac du Barn, les fleurs sont nombreuses, les myrtilles sont en fin de floraison et les fruits ne sont qu’au début. A noter que le myrtillier se promet à une bonne récolte.
L’eau est omniprésente, les cours d’eau sont chargés du fait des nombreux orages et des névés restant en ce début de printemps. Les marmottes se font entendre.
Puis nous arrivons au lac, majestueux, bien caché au pied des montagnes à quelques mètres du sentier. Invisible derrière une forêt de mélèzes, le lac est au sommet de sa côte maximale. L’eau est claire et un peut fraiche à la baignade !
Au retour, nous découvrirons la grassette, une des plantes carnivores du Mercantour, où elle piège les insectes grâce à des glandes odorantes et gluantes.
Le retour se terminera par un verre bien mérité à st Martin Vésubie.
Une randonnée très sympathique sans grande difficulté, facile et accessible et printanière

WE Bivouac -Tour du Malinvern

Départ D’Isola 2000 pour ce tour du Malinvern et une petite montée à la baisse du druos en passant par les lacs de Terres rouge. Le soleil est bien présent et éclaire les montagnes encore enneigées. Les lacs Valscura s’illuminent de leur eaux turquoises.

Le pique nique est pris au lac, le paysage est magnifique. Une sieste s’impose avant la remontée au pas de Valscura qui nous emmènera au lac Malinvern. La montée est en zig zag , après déjeuner , la montée est rude et le  col est le bien venu.

Quelques névés en face nord nous obligent à la prudence, d’autant que la pente est raide. 350 m plus bas nous voici au lac Malinvern où nous installons le bivouac au bord du lac. Une baignade s’impose, même si l’eau est froide, mais ça nous fait du bien à tous en guise de décontraction des muscles.

3 tentes sont plantées ainsi qu’une bâche pour éviter la rosée du matin sur les duvets. Étant hors d’un parc national, nous ferons un petit feu histoire de se réchauffer un peu en fin de soirée. La nuit se passe, pas de vent, à une bonne température.

Le lendemain, levé 7 h pour préparer le pdj et tout replier pour aborder cette nouvelle journée. D’abord en descente jusqu’au refuge Malinvern, où un petit arrêt de 25 min sera fait pour bien se préparer psychologiquement pour une remontée de 600 m jusqu’au pas d’Orgials. D’autant que la montée se fait au soleil.

Arrivés au lac d’Orgials, une petite pause avec une vue magnifique. Beaucoup marmottes de part et d’autres du sentier, quelques bouquetins et des chamois. Le pas d’Orgials fatigue les organismes, le soleil tape, alors c’est en redescendant du pierrier et au bord d’une source miraculeuse que nous déjeunons et prenons notre temps pour aborder la fin du parcours avec une remontée au col e la lombarde et une descente vers Isola 2000.

Le parcours passe dans quelques pierriers, des montées subites et une arrivée aux voitures à 16h40. Une fin de parcours éprouvante, mais un paysage magnifique tout au long de ces deux jours.

Une bonne expérience pour l’ensemble des participants dans ce parcours à une altitude moyenne de 2000 m d’altitude pour 21 kms et 1717 m de dénivelées positives

Yohann Accompagnateur Terres d’émotions
C’est donc en descente que la randonnée commence pour aller à la vacherie de Mollières qui fait la jonction avec le sentier qui remonte au col du barn. Le soleil est omniprésent mais s’efface peu à peu en cette fin de matinée, non sans être trop menaçant. Mais tout de même les nuages nous obligeront à ne pas rester trop longtemps au lac par peur d’une averse.
Donc dans la montée au lac du Barn, les fleurs sont nombreuses, les myrtilles sont en fin de floraison et les fruits ne sont qu’au début. A noter que le myrtillier se promet à une bonne récolte.
L’eau est omniprésente, les cours d’eau sont chargés du fait des nombreux orages et des névés restant en ce début de printemps. Les marmottes se font entendre.
Puis nous arrivons au lac, majestueux, bien caché au pied des montagnes à quelques mètres du sentier. Invisible derrière une forêt de mélèzes, le lac est au sommet de sa côte maximale. L’eau est claire et un peut fraiche à la baignade !
Au retour, nous découvrirons la grassette, une des plantes carnivores du Mercantour, où elle piège les insectes grâce à des glandes odorantes et gluantes.
Le retour se terminera par un verre bien mérité à st Martin Vésubie.
Une randonnée très sympathique sans grande difficulté, facile et accessible et printanière

Lac du Barn, Un lac caché au cœur du Mercantour

Après plusieurs annulations pour cause de mauvais temps, Terres d’émotions est de retour dans la vallée de la vésubie au col de Salèse (soumis à autorisation).
C’est donc en descente que la randonnée commence pour aller à la vacherie de Mollières qui fait la jonction avec le sentier qui remonte au col du barn. Le soleil est omniprésent mais s’efface peu à peu en cette fin de matinée, non sans être trop menaçant. Mais tout de même les nuages nous obligeront à ne pas rester trop longtemps au lac par peur d’une averse.
Donc dans la montée au lac du Barn, les fleurs sont nombreuses, les myrtilles sont en fin de floraison et les fruits ne sont qu’au début. A noter que le myrtillier se promet à une bonne récolte.
L’eau est omniprésente, les cours d’eau sont chargés du fait des nombreux orages et des névés restant en ce début de printemps. Les marmottes se font entendre.
Puis nous arrivons au lac, majestueux, bien caché au pied des montagnes à quelques mètres du sentier. Invisible derrière une forêt de mélèzes, le lac est au sommet de sa côte maximale. L’eau est claire et un peut fraiche à la baignade !
Au retour, nous découvrirons la grassette, une des plantes carnivores du Mercantour, où elle piège les insectes grâce à des glandes odorantes et gluantes.
Le retour se terminera par un verre bien mérité à st Martin Vésubie.
Une randonnée très sympathique sans grande difficulté, facile et accessible et printanière

La lumière au bout du tunnel d’ublan..

Au départ, un petit déjeuner convivial, un sentier ombragé le long du canal qui relie St Dalmas le Selvage à St Etienne de Tinée. Quelques fleurs sont encore en fleurs dans cette forêt luxuriante préservée des chaleurs estivales. Ainsi on aura croisé la sauge glutineuse (très collante aux doigts), le séneçon, l’ortie royale, le rosier des dunes, la pulmonaire…et quelques champignons, la coulemelle, le sanguin et le baveux…autant de richesses en cette fin d’été.

Le sentier se rétrécie, puis les parois se rapprochent et l’entrée du premier tunnel est là devant nous avec ses vieilles poutres en bois avec le canal couvert au milieu. Il faut se baisser un peu.

Puis quelques mètres plus loin le long canal de plus de 300 m, plus de 10 minutes de marche. A l’entrée du tunnel, les eaux du canal se jettent littéralement  dans le tunnel. Alors aidé de la frontale nous progressons dans cette petite rivière souterraine dont la faible hauteur d’eau mouillent quelque peu les chaussures.

Le déjeuner est pris à l’ombre face à St Etienne de Tinée. Le canal construit en 1949 continue sont parcours pour irriguer les restanque d’Ublan située sous le col d’annelle.

Une bien bonne journée à l’ombre des sous bois et sans effort !!

Lac de Fenestre -Baignade en eaux turquoise

Revenir dans la vallée de la vésubie à la madone des fenestre c’est revoir la cicatrice de la vallée de la tempête ALEX. La rivière transformée en torrent de cailloux et de troncs d’arbres est impressionnante. Il reste alors le dernier petit pont avant d’arriver à la madone, ultime réparation de ce chaos.

Le sentier mène au lac par un sentier en zig-zag, quelques vaches nous accueillent broutant une herbe sèche (en ces temps de sécheresse !).

Une fois au lac, tout le monde ira à l’eau pour apprécier les quelques degrés qu’il y a mais le lac est plus ou moins baignable (!).

Puis quelques efforts supplémentaires seront fait pour aller au col de fenestre et admirer la superbe vue sur le massif du Mont Blanc !! eh oui, l’arc Alpin se dessine et laisse apparaitre cette grande plaine du PÔ avec au loin les neiges « éternelles » du Mont Blanc. Un belle jolie vue.

Baignades dans les eaux turquoises du lac de la Braissette

Encore une belle journée sous le soleil de la haute Tinée, au col de la Moutière.

Après St Dalmas le Selvage, la route devient sinueuse et monte à travers d’interminables lacets en pente forte à travers les mélèzes centenaires. Quelques marmottes innocentes traversent la route. Nous progressons en altitude jusqu’à arriver devant les blockhaus construits dans les année 30.

Le col est à 2454 m. Objectif du jour :  Lacs de la Braissette. Deux lacs l’un sur l’autre situés à quelques encablures du parking. Le sentier progresse dans les pelouses alpines, puis par un dernier petit raidillon, nous surplombons le lac le plus grand.

Le soleil est chaud, alors quoi de mieux qu’une petite baignade comme la semaine dernière. Nous sommes 5 à tenter l’expérience d’une baignade dans une eau turquoise dans un décor magnifique. L’eau est rapidement apprivoisée. Nous restons bien 25 min dans l’eau à explorer toutes les parties du grand lac. Une expérience magique au milieu de sommets qui dépassent les 2700m.

Lacs Aver, le paradis côté italien

C’est juste derrière la frontière non loin d’Isola 2000 que nous découvrons ces deux lacs en balcons.Il suffira d’une boucle de quelques dizaine de kilomètre et de quelques centaine de mètres de dénivelées pour atteindre par un sentier parfois vertigineux ces deux lacs qui se laissent difficilement  approcher. Les lacs Aver soprano (du dessus) et sottano (du dessous)

Les lacs frémamortes -reliques de l’âge glaciaire

Le ciel est partiellement ensoleillé ce dimanche, la température remonte doucement en milieu de matinée. Au départ du col de Salèse, la montée au lac frémamorte nous prendra 2h. Les vaches de Salèse nous accueillent, de nombreuses myrtilles sur les côtés du chemin. Nous abordons les lacs par le haut, puis redescendons via les quelques petites mares résiduelles.