La montagne de l’Alp, les étendues sauvage de la Tinée

La neige tombée en abondance le dimanche d’avant n’a pas fondu. Les températures négatives ont conservé une poudreuse de qualité en face nord.
Aujourd’hui, le départ sera donné à Roya, hameau pastoral de la Tinée situé en altitude au bout d’une route partiellement enneigée. Au début le sentier est une piste qui descend dans la forêt pour traverser la rivière via une passerelle.
Montée progressive pour déboucher sur des grandes étendues enneigées. La trace monte vers le col de crous, mais nous décidons de faire nos propres traces en allant vers la montagne de l’Alp.
Une belle poudreuse nous accueille, le temps est magnifique. Le déjeuner sera pris en face du col de Crous et face au Mounier. Une galette est sortie du sac accompagné d’une bouteille. Un bon moment convivial qui profite à tous. La descente se fera “hors sentier” dans les divers pentes pour redescendre dans la vallée, des belles sensations de glisse au milieu des mélèzes loin du chemin initial. De bonne sensations de liberté. Retour à la passerelle de ce matin pour une petit parcours le long de la rivière.
Une belle randonnée toujours dans une super ambiance
Yohann Accompagnateur Terres d’émotions

WE reveillon 2022 -refuge de la cantonnière -Estenc

Chose promise, chose due. Un WE de fête inoubliable pour cette nouvelle année  au refuge de la Cantonnière à Estenc. Tout d’abord après une remontée de la vallée du var de l’embouchure jusqu’à la source et quelques degrés en moins sur le thermomètre, nous chaussons les raquettes pour remonter ce cours d’eau du vallon de sanguinières qui fut au temps jadis italien, laissant ainsi les sources du var française bien en contre bas.

La neige est présente en abondance bien que réchauffée la semaine passée par de la pluie. Néanmoins c’est 60 cm qui se présentent à 2000 m d’altitude. Pendant le déjeuner, petit échauffement de recherche DVA pour s’entrainer à être efficace en cas d’avalanche. Le principe de recherche est facile, mais en pratique ce la devient moins évident. Un jeu initiatique qui nous met dans l’ambiance.

Retour au gite vers 16h, pour se préparer pour un apéro magistral que Philippe nous sert en musique devant un feu de joie. Après un petit quizz terres d’émotions sur la montagne pour les 45 personnes et c’est l’heure du festin montagnard préparé par Anne-marie.

Une bonne ambiance autour de la table qui continuera jusqu’à 2h du matin sur le “dance floor” du refuge au son de musiques transgenérationnelles et où Chantal Goya s’est invitée. Une super ambiance à minuit pétante et le passage en 2023. La soirée continura pour certains jusqu’à 4h00 du mat’.

La Cabane ensoleillée du col d’Anelle

Journée exceptionnelle dans la vallée de la Tinée à St Dalmas le Selvage.

Les récentes chutes de neige ont bien recouvert l’ensemble des montagnes, des forêts aux sommets. C’est donc raquettes aux pieds que nous partons en direction du col d’Anelle dans l’ombre au début puis dans le soleil à force de progresser dans les bois. Le soleil généreux fait briller la neige, les nombreuses traces d’animaux, nous rappellent que la forêt vit plus que jamais avec des habitants  tels que le chamois, le renard, le lièvre ou l’écureuil. 

C’est donc vers 12h que nous atteignons la cabane d’Anelle pour prendre un déjeuner bien mérité. Et c’est là que nous sortons le mini-barbecue écologique pour faire griller quelques saucisses, réchauffer une quiche et quelques chaussons aux pommes. Au départ il ne restera aucune trace de ce petit moment convivial.

Les premières neiges du plateau de Beuil. La tête de Garnier

Première randonnée Raquettes de la saison qui nous emmène sur le plateau de Beuil. Au menu la tête de Garnier qui domine la vallée du Cians et offre une vue sur le haut bvar/Haut Verdon et la vallée de la Tinée.

Une pluie vendredi dernier est venue s’ajouter à la neige tombée en quantité la semaine dernière. C’est donc dans une gène parsemée de strie consécutif à la pluie et au réchauffement des températures que nous évoluons. De plus la couche de surface ayant gelée, la neige est légèrement crouté et ne porte pas suffisamment. Mais au delà de cette aspect, c’est par un parcours nouveau que nous montons à la tête de Garnier.

Les mélèzes dorés de la tête de Méric

Péone est situé sur un affluent du Var, le Tuébi. Un village dans le comté de Nice jusqu’en 1860. La tête de Méric domine cette vallée du Var côté anciennement Sardes. C’est en montant au plus haut vers de petites routes que l’on commence la randonnée.

Un magnifique chemin d’abord dans les pain avant de se retrouver sur une ligne de crête dans les mélèzes. Ici c’est toujours l’automne, Les épine dorées sont encore dans les arbres ce qui confère à la forêt des couleurs éclatantes.

Le Mont Archas, Sentinelle du boréon au milieu des mélèzes

C’est toujours un bonheur de pouvoir monter au col de Salèse en voiture. Autorisation délivrée par le parc aux accompagnateurs en montagne  🙂

Le temps est mitigé ce matin, quelques résidus de neige sur le sentier. Une neige qui peine à fondre et qui est par endroit verglacée. Nous montons tranquillement au col de la valette, quelques chamois gambadent dans les pierriers. Au col le vent se lève sur les lignes de crête. Un vent froid. La température descend à partir de la mi journée.

C’est donc bien exposé au vent que nous montons au mont archas. Les gants sont de rigueur ! Le soleil reste caché par les nuages, mais le ciel se dégage peu à peu.

Couleurs d’automne au canal de Braux et Châtaignes

Les forêts changent de couleurs, les feuillus revêtent leur parure dorée et au soleil, cela donne des couleurs éclatantes.

Nous commençons la randonnée par ramasser des châtaignes avant d’atteindre le canal de Braux. Ce canal construit en 1859 toujours en activité sert à irriguer une centaine d’hectares de terres à l’entrée du village de Braux. Le canal serpente dans la forêt de châtaigniers, de hêtres et de pins pour aller chercher l’eau du coulomp. Ce canal fait environ 7kms. Nous n’en ferons que 3.5 kms.

Puis nous partons en direction ce Chabrière, un petit hameau médiéval en reconstruction. Une légère remontée pour atteindre une ruine et d’anciennes restanques, témoins de l’activité agropastorales d’autrefois.

Ici les nouvelles céréales au début XX siècle ont supplanté le commerce des châtaignes dont l’activité a commencé au XVI siècle.

Au moment du déjeuner dans une petite clairière, nous établissons un feu (sur trépied pour ne pas laisser de trace de brûlé au sol) et nous faisons cuire nos châtaignes à l’aide d’une poêle à châtaignes.

Nous continuons à marcher dans une forêt de hêtres et de chataigniers au couleurs jaunes jusqu’à la pierre qui tremble. Magnifique bloc de gré posé sur un socle beaucoup plus petit. Une curiosité géologique impressionnante.

Le Pont des Tuves -la Siagne dans toute sa splendeur

Magnifique rivière qu’est la Siagne séparant le var des Alpes-Maritimes. Du haut de St Cézaire, la rivière est 300 m plus bas.

Delà nous descendons donc d’abord pour tranquillement pour aller vers la chapelle St Saturnin  (moine du 4 eme Siecle). Cette chapelle a été construite au XIIe siècle par les moines de Lérins (propriétaires des terres). Elle fut la paroisse du hameau qui depuis l’époque romaine assurait la surveillance et la sécurité du chemin.

Puis nous reprenons le GR avant de le quitter pour les bords du canal de la Siagne. Quelques poissons font des allers retours dans les eaux claires du canal.

Puis nous arrivons au pont des Tuves (vient de “Tufs” ,
Une aventure de se retrouver le long de la montagne pour rejoindre la prise d’eau. L’eau coule difficilement en cet fin d’été. On remonte les méandres d’une rivière asséchée pour y faire notre barbecue. Le soleil est généreux, les grillades sont bonnes.

Partis rive gauche de la vaïre, nous voici rive droite après quelques passages hors sentier. Descente au vieux moulin pour trouver quelques vasques où se baigner. 5 personnes profiteront de l’eau fraiche de la rivières ‘y refroidir.

Brame du cerf – La nature à l’heure des rencontres

Pour aller au sommet du Mont Grazian, il faut d’abord remonter la vallée de la Basséra tranquillement par un beau sentier en forêt.Puis après quelques mètres de dénivelée, la ligne de crête se dessine. Le mont Grazian et ses nombreuses bornes frontières est devant nous surveillant la vallée de la Bévéra avec Piène d’un côté et Olivetta San Michèlle de l’autre.Un âne un peu trop collant s’intéresse à notre déjeuner, tout comme des bousiers friands des crottins de l’âne. Chacun se régale comme il peut ! On redescend le GR non sans avoir été voir par la voie des airs le village de Piène.Nous voici à la frontière de 1947, les panneaux routiers nous l’indiquent. Les deux panneaux Italie et France sont distants de 50m. Alors au milieu dans quel pays sommes nous ?
Une aventure de se retrouver le long de la montagne pour rejoindre la prise d’eau. L’eau coule difficilement en cet fin d’été. On remonte les méandres d’une rivière asséchée pour y faire notre barbecue. Le soleil est généreux, les grillades sont bonnes.

Partis rive gauche de la vaïre, nous voici rive droite après quelques passages hors sentier. Descente au vieux moulin pour trouver quelques vasques où se baigner. 5 personnes profiteront de l’eau fraiche de la rivières ‘y refroidir.

Le Mont Grazian, une frontière ancienne du comté de Nice

Pour aller au sommet du Mont Grazian, il faut d’abord remonter la vallée de la Basséra tranquillement par un beau sentier en forêt.Puis après quelques mètres de dénivelée, la ligne de crête se dessine. Le mont Grazian et ses nombreuses bornes frontières est devant nous surveillant la vallée de la Bévéra avec Piène d’un côté et Olivetta San Michèlle de l’autre.Un âne un peu trop collant s’intéresse à notre déjeuner, tout comme des bousiers friands des crottins de l’âne. Chacun se régale comme il peut ! On redescend le GR non sans avoir été voir par la voie des airs le village de Piène.Nous voici à la frontière de 1947, les panneaux routiers nous l’indiquent. Les deux panneaux Italie et France sont distants de 50m. Alors au milieu dans quel pays sommes nous ?
Une aventure de se retrouver le long de la montagne pour rejoindre la prise d’eau. L’eau coule difficilement en cet fin d’été. On remonte les méandres d’une rivière asséchée pour y faire notre barbecue. Le soleil est généreux, les grillades sont bonnes.

Partis rive gauche de la vaïre, nous voici rive droite après quelques passages hors sentier. Descente au vieux moulin pour trouver quelques vasques où se baigner. 5 personnes profiteront de l’eau fraiche de la rivières ‘y refroidir.