Lac du Barn, Un lac caché au cœur du Mercantour

Après plusieurs annulations pour cause de mauvais temps, Terres d’émotions est de retour dans la vallée de la vésubie au col de Salèse (soumis à autorisation).
C’est donc en descente que la randonnée commence pour aller à la vacherie de Mollières qui fait la jonction avec le sentier qui remonte au col du barn. Le soleil est omniprésent mais s’efface peu à peu en cette fin de matinée, non sans être trop menaçant. Mais tout de même les nuages nous obligeront à ne pas rester trop longtemps au lac par peur d’une averse.
Donc dans la montée au lac du Barn, les fleurs sont nombreuses, les myrtilles sont en fin de floraison et les fruits ne sont qu’au début. A noter que le myrtillier se promet à une bonne récolte.
L’eau est omniprésente, les cours d’eau sont chargés du fait des nombreux orages et des névés restant en ce début de printemps. Les marmottes se font entendre.
Puis nous arrivons au lac, majestueux, bien caché au pied des montagnes à quelques mètres du sentier. Invisible derrière une forêt de mélèzes, le lac est au sommet de sa côte maximale. L’eau est claire et un peut fraiche à la baignade !
Au retour, nous découvrirons la grassette, une des plantes carnivores du Mercantour, où elle piège les insectes grâce à des glandes odorantes et gluantes.
Le retour se terminera par un verre bien mérité à st Martin Vésubie.
Une randonnée très sympathique sans grande difficulté, facile et accessible et printanière

Cap Sicié, Notre dame du Mai

Aujourd’hui 13 participants se sont lancés à l’assaut de Notre dame du Mai. Alors en présence d’au moins deux voitures quoi de mieux que de faire une navette entre la plage de Fabregas et le brusc. Cela nous permet de faire la ligne de crête dans son intégralité.Du départ du parking de la Gardiole, la montée est progressive et la vue devient intéressante au fur et à mesure que l’on s’élève dans la pinède. Au loin les Embiez et en arrière fond La Ciotat et les calanques de Cassis. Quelques voiliers s’amusent avec le vent.A notre Dame du Mai, le soleil reste généreux et le déjeuner est pris au soleil. Au loin la tension nuageuse est à son comble et l’orage menace dans l’arrière pays de Toulon. Au cap sicié nous contournons les vestiges du poste photoélectrique qui éclairait le champ de tir de la batterie du Peyras située au-dessus.Au loin la pluie tombe en trombe. Le paysage est saisissant, les éclairs font parler leur puissance au milieu du Mont Faron.Pour se prémunir de futures averses, nous descendons rapidement le flan est du cap Sicié dans une flore exubérante. La garrigue nous montre ses plus belles fleurs.Finalement vers 15h00 la pluie se met à tomber , et nous invite à rejoindre Fabregas sanspour autant descendre sur des plages intermédiaires. Le soleil revient peu à peu et quelques érudit iront se baigner dans une eau calme à 17 °C.

Le parcours débute par un sentier en parallèle du sentier indiqué et déjà une petite mise en jambe avec des mains courantes. Le sentier taillé dans la roche, puis le pas de l’incise et c’est une grosse partie déjà de faite. Reste le plus dur, la montée au sommet.

Et ce n’est pas une mince affaire, il faut mettre un peu les mains avant d’arriver au sommet. La vue est extraordinaire ! de la mer à la montagne, toute la vallée de la Nervia. On distingue la roya au loin, les sommets enneigés du Marguareis, de la vallée des Merveilles, et aussi plus près de nous le sommet de Marta.

La descente se fera par la voie Alpine (la voie choisie par les italiens pour monter). Cette descente demande d’être très concentré, le chemin est équipé de mains courantes.

Le retour se fera par le contournement du mont Peïrevielle et une petite sieste à un petit col qui donne sur le colle melosa. Le soleil fait place au brouillard, mais globalement le temps a été très correct.

Une belle randonnée sur la crête frontalière où l’on change de pays à de nombreuses reprises.

Partis au départ du vallon de Bouyon, nous atteignons rapidement le canal de vegay. Construit en 1954, ce canal long de 21 kms prend vie à la cascade de vegay, traverse la montagne dans de multiples tunnels pour arriver à la station d’épuration de Bouyon. Delà, cette eau traitée repart en direction du sud par la canal de la gravière pour alimenter jusqu’à St Jeannet.

Une eau providentielle pour tout un territoire.

Situé derrière le pic du cap roux et le rastel d’Agay, les pics du perthus oriental et occidental culminant à 274 m offrent une vue imprenable sur la baie de St Raphaël. Le parcours passe par un petit étang où le lotus a élu domicile, traverse des forêts d’asphodèle, des gorges étroites comme le ravin du Perthus et pour finir le sommet du Perthus.

Le printemps est arrivé dans cette zone protégé de 140 km2 sur les 320km2 que compte le massif de L’Esterel. Ce massif vieux de 230 millions d’années à la géologie particulière avec des monolithes correspondant à d’ancienne cheminées éruptives; coloré par la ryolithe rouge témoin de 30 millions d’année de volcanisme.

Et puis après le déjeuner, la baignade dans une eau rare et providentielle, fraiche mais au combien agréable.

L’Estellier -la table panoramique du Mercantour

Sommet proche du bord de mer mais au combien intéressant. Situé sur les contreforts de l’Estéron, l’estellier est une ligne de crête orientée est/ouest en direction du Cheiron.

Partis au départ du vallon de Bouyon, nous atteignons rapidement le canal de vegay. Construit en 1954, ce canal long de 21 kms prend vie à la cascade de vegay, traverse la montagne dans de multiples tunnels pour arriver à la station d’épuration de Bouyon. Delà, cette eau traitée repart en direction du sud par la canal de la gravière pour alimenter jusqu’à St Jeannet.

Une eau providentielle pour tout un territoire.

Situé derrière le pic du cap roux et le rastel d’Agay, les pics du perthus oriental et occidental culminant à 274 m offrent une vue imprenable sur la baie de St Raphaël. Le parcours passe par un petit étang où le lotus a élu domicile, traverse des forêts d’asphodèle, des gorges étroites comme le ravin du Perthus et pour finir le sommet du Perthus.

Le printemps est arrivé dans cette zone protégé de 140 km2 sur les 320km2 que compte le massif de L’Esterel. Ce massif vieux de 230 millions d’années à la géologie particulière avec des monolithes correspondant à d’ancienne cheminées éruptives; coloré par la ryolithe rouge témoin de 30 millions d’année de volcanisme.

Et puis après le déjeuner, la baignade dans une eau rare et providentielle, fraiche mais au combien agréable.

Au cœur des volcans de l’Esterel-Pic du Perthus

Pour connaitre un peu mieux l’Esterel et sortir des sentiers battus, d’autres pics tout aussi caractéristiques et moins connus sont intéressants à pratiquer en randonnée.

Situé derrière le pic du cap roux et le rastel d’Agay, les pics du perthus oriental et occidental culminant à 274 m offrent une vue imprenable sur la baie de St Raphaël. Le parcours passe par un petit étang où le lotus a élu domicile, traverse des forêts d’asphodèle, des gorges étroites comme le ravin du Perthus et pour finir le sommet du Perthus.

Le printemps est arrivé dans cette zone protégé de 140 km2 sur les 320km2 que compte le massif de L’Esterel. Ce massif vieux de 230 millions d’années à la géologie particulière avec des monolithes correspondant à d’ancienne cheminées éruptives; coloré par la ryolithe rouge témoin de 30 millions d’année de volcanisme.

Et puis après le déjeuner, la baignade dans une eau rare et providentielle, fraiche mais au combien agréable.

Les Meules et les oppidums de Bagnols en Forêt

Retour dans le Var pour cette randonnée à l’extrémité ouest de l’Estérel.

Départ de Bagnols en forêt, village Perché. Le sentier emprunté navigue à travers une forêt de pins, monte et descent puis rejoint les roches volcaniques du massif (éruptions datant 230 millions d’année). Les blocs rocheux forment des monolithes témoins d’anciennes cheminées volcaniques.

Nous rejoignons l’oppidum de la forteresse qui relié à la vigie de la Gardiette et à l’oppidum de Bayonne domine et contrôle le col de la Pierre du Coucou, sur la voie antique reliant Puget sur Argens et la vallée de l’argens avec l’arrière Pays Varois.

Les crêtes de l’Estéron, une dorsale infinie

Fabuleuse rivière, l’estéron prend sa source au pied du Teillon (1893 m). C’est ici que nous démarrons la randonnée. L’estéron est un petit ru, sage, un maigre filet d’eau, en ces temps de sécheresse avant de se faire rejoindre par de nombreux affluents.

Parvenu au col des portes, le choix s’oriente donc vers la ligne de crête s’étirant vers L’est. La végétation tente de trouver de la place dans ce paysage calcaire, le sentier se fait parfois hésitant.

Ici aucune indication ! laissant à l’imagination son propre parcours. Alors situés sur cette crête à 1712 m d’altitude où  l’estéron est 700 m plus bas la vue qui s’offre à nous est panoramique sur les différentes vallées allant du Verdon, au Mercantour.

Le soleil n’est pas aussi généreux qu’espéré, les nuages parviennent à notre niveau . La neige fine fera son apparition après le déjeuner. Alors nous orientons le parcours en descente à partir du Col bas.

Descente dans cette formidable forêt de hêtres où les arbres s’embrassent ou bien se joignent pour ne faire plus qu’un. Le soleil revient quand nous sommes dans la pleine inondant de Soleil, le beau village authentique de St Auban.

Un beau parcours sauvage sans rencontrer âme qui vive, loin de toute agitation touristique. La ligne de crête pour nous seul et ça c’est la meilleure des ressources.

Yohann Accompagnateur Terres d’émotions

Splendeurs hivernales aux Lacs de Terres rouge

Suite au récentes chutes de neige, il était naturel de partir à cette découverte 2023 des lacs de Terres rouges. Une neige de qualité , poudreuse sur l’ensemble du parcours.

Après être sorti du domaine skiable, le parcours s’enfonce dans l’immensité blanche à travers les mélèzes et les pins cembro. Et puis les arbres font place à un espace vierge enneigé. La trace serpente entre les rochers et les micro-vallons. Rapidement on se retrouve en surplomb des lacs de terres rouges. Une magnifique vue sur la vallée. La baisse du druos n’est pas loin.

Alors pour aller voir  ce qu’il y a de l’autre côté, quelques érudits tombent leur sac pour s’alléger et montent les 100 derniers mètres. Au col une vue unique sur les lacs italiens, l’argentera  sera vue avec le drone. Mais en haut un paysage à couper le souffle.

Puis au moment du déjeuner, en guise de dessert, petit vin chaud servi pour tout le monde. La recette ? une préparation authentique avec des produits du terroir dans un petit bocal. Il a suffit de rajouter les oranges et le vin rouge. Le tout chauffé au réchaud.

Une préparation bienvenue fédératrice. Comme toujours, Terres d’émotions rassemble, fédère et crée de véritables moments de convivialité.

Quoi de mieux que des les admirer lors d’un petit parcours de 13 kms et 480 m de D+. Un parcours bucolique facile le long d’une rivière et de divers sentiers tantôt dans des vallées ou en lignes de crêtes où les mimosas sont partout à des degrés diverses de floraison.

Loin de l’agitation du flot de touristes nous profitons en quasi exclusivité des chemins de traverses qui nous offrent cette couleur jaune abondante de part et d’autres du sentier.

Introduit au XVIII siècle, cet arbre d’origine australienne s’exporte à travers le monde. Quelques variétés sont présentes dans le massif associées à l’eucalyptus de Gunn avec ses feuilles rondes. Le mimosas à de multiples propriétés médicinales. Il peut aussi servir à des préparations culinaires, et dans la construction de l’habitat. Le déjeuner est pris au soleil avec une superbe vue sur la plaine de Fayence et Caillan. Bref, une randonnée plaisante dans une bonne ambiance de partage

La neige fait cruellement défaut (surtout en face sud). Le parcours pour aller au lac des Grenouilles se fera dans le vallon de fontanalbe, là où la neige est encore bien présente.

Un  paysage grandiose et une neige de qualité au dessus de 1900 m. La neige reste pas trop transformée. Quelques chamois s’amusent sur les pentes, de nombreuses traces d’écureuil au sol, mais aussi des traces de renard et de lièvre Variable. Le soleil est généreux, et très peu de vent.

Nous arrivons au lac des grenouille en le surplombant  par le côté ouest. Le lac enneigé est suffisamment solide pour que nous le traversions. Déjeuner au soleil sur un rocher. On aurait pu y rester des heures  !

Retour par la piste pour compléter ce parcours par une boucle. La fin de la randonnée se conclura par un verre de l’amitié (ou plutôt une tarte maison et un chocolat au gite Marie Madeleine.

Au départ du boréon, la neige est présente miraculeusement après une vallée bien tristounette en neige. La vallée meurtie par la tempête Alex de 2020 et le sentier de départ dans les bois s’est effacé pour faire place à une vallée élargie de cailloux.

Au bout de 40 min nous atteignons le restaurant l’Alpage auquel nous reviendrons déjeuner le midi. La curiosité nous pousse à marcher dans une neige très peu transformée mais qui par moment fait défaut. Le pont de peirastreche arrive à nos pieds, le vent est froid, nous redescendons se mettre au chaud au restaurant.

Il commence à neigeoter timidement, sentiment de réconfort qui cette fois-ci tombera à pique versus la semaine dernière où le soleil généreux et les températures douces nous invitait à manger dehors.
Aujourd’hui, le départ sera donné à Roya, hameau pastoral de la Tinée situé en altitude au bout d’une route partiellement enneigée. Au début le sentier est une piste qui descend dans la forêt pour traverser la rivière via une passerelle.
Montée progressive pour déboucher sur des grandes étendues enneigées. La trace monte vers le col de crous, mais nous décidons de faire nos propres traces en allant vers la montagne de l’Alp.
Une belle poudreuse nous accueille, le temps est magnifique. Le déjeuner sera pris en face du col de Crous et face au Mounier. Une galette est sortie du sac accompagné d’une bouteille. Un bon moment convivial qui profite à tous. La descente se fera “hors sentier” dans les divers pentes pour redescendre dans la vallée, des belles sensations de glisse au milieu des mélèzes loin du chemin initial. De bonne sensations de liberté. Retour à la passerelle de ce matin pour une petit parcours le long de la rivière.
Une belle randonnée toujours dans une super ambiance
Yohann Accompagnateur Terres d’émotions

Le Mimosas du Tanneron – splendeur florale

C’est au plein cœur de l’hiver que les mimosas fleurissent un peu partout dans le départements. Mais c’est dans le massif du Tanneron qui sont les plus nombreux.

Quoi de mieux que des les admirer lors d’un petit parcours de 13 kms et 480 m de D+. Un parcours bucolique facile le long d’une rivière et de divers sentiers tantôt dans des vallées ou en lignes de crêtes où les mimosas sont partout à des degrés diverses de floraison.

Loin de l’agitation du flot de touristes nous profitons en quasi exclusivité des chemins de traverses qui nous offrent cette couleur jaune abondante de part et d’autres du sentier.

Introduit au XVIII siècle, cet arbre d’origine australienne s’exporte à travers le monde. Quelques variétés sont présentes dans le massif associées à l’eucalyptus de Gunn avec ses feuilles rondes. Le mimosas à de multiples propriétés médicinales. Il peut aussi servir à des préparations culinaires, et dans la construction de l’habitat. Le déjeuner est pris au soleil avec une superbe vue sur la plaine de Fayence et Caillan. Bref, une randonnée plaisante dans une bonne ambiance de partage

La neige fait cruellement défaut (surtout en face sud). Le parcours pour aller au lac des Grenouilles se fera dans le vallon de fontanalbe, là où la neige est encore bien présente.

Un  paysage grandiose et une neige de qualité au dessus de 1900 m. La neige reste pas trop transformée. Quelques chamois s’amusent sur les pentes, de nombreuses traces d’écureuil au sol, mais aussi des traces de renard et de lièvre Variable. Le soleil est généreux, et très peu de vent.

Nous arrivons au lac des grenouille en le surplombant  par le côté ouest. Le lac enneigé est suffisamment solide pour que nous le traversions. Déjeuner au soleil sur un rocher. On aurait pu y rester des heures  !

Retour par la piste pour compléter ce parcours par une boucle. La fin de la randonnée se conclura par un verre de l’amitié (ou plutôt une tarte maison et un chocolat au gite Marie Madeleine.

Au départ du boréon, la neige est présente miraculeusement après une vallée bien tristounette en neige. La vallée meurtie par la tempête Alex de 2020 et le sentier de départ dans les bois s’est effacé pour faire place à une vallée élargie de cailloux.

Au bout de 40 min nous atteignons le restaurant l’Alpage auquel nous reviendrons déjeuner le midi. La curiosité nous pousse à marcher dans une neige très peu transformée mais qui par moment fait défaut. Le pont de peirastreche arrive à nos pieds, le vent est froid, nous redescendons se mettre au chaud au restaurant.

Il commence à neigeoter timidement, sentiment de réconfort qui cette fois-ci tombera à pique versus la semaine dernière où le soleil généreux et les températures douces nous invitait à manger dehors.
Aujourd’hui, le départ sera donné à Roya, hameau pastoral de la Tinée situé en altitude au bout d’une route partiellement enneigée. Au début le sentier est une piste qui descend dans la forêt pour traverser la rivière via une passerelle.
Montée progressive pour déboucher sur des grandes étendues enneigées. La trace monte vers le col de crous, mais nous décidons de faire nos propres traces en allant vers la montagne de l’Alp.
Une belle poudreuse nous accueille, le temps est magnifique. Le déjeuner sera pris en face du col de Crous et face au Mounier. Une galette est sortie du sac accompagné d’une bouteille. Un bon moment convivial qui profite à tous. La descente se fera “hors sentier” dans les divers pentes pour redescendre dans la vallée, des belles sensations de glisse au milieu des mélèzes loin du chemin initial. De bonne sensations de liberté. Retour à la passerelle de ce matin pour une petit parcours le long de la rivière.
Une belle randonnée toujours dans une super ambiance
Yohann Accompagnateur Terres d’émotions

Lac des Grenouilles -Merveilles de Casterino

Terres d’émotions est de retour dans la vallée de la Roya après deux ans d’absence. Les stigmates de la tempête Alex sont toujours présents. La route est toujours en construction, mais c’est appréciable de pouvoir revenir à Casterino.

La neige fait cruellement défaut (surtout en face sud). Le parcours pour aller au lac des Grenouilles se fera dans le vallon de fontanalbe, là où la neige est encore bien présente.

Un  paysage grandiose et une neige de qualité au dessus de 1900 m. La neige reste pas trop transformée. Quelques chamois s’amusent sur les pentes, de nombreuses traces d’écureuil au sol, mais aussi des traces de renard et de lièvre Variable. Le soleil est généreux, et très peu de vent.

Nous arrivons au lac des grenouille en le surplombant  par le côté ouest. Le lac enneigé est suffisamment solide pour que nous le traversions. Déjeuner au soleil sur un rocher. On aurait pu y rester des heures  !

Retour par la piste pour compléter ce parcours par une boucle. La fin de la randonnée se conclura par un verre de l’amitié (ou plutôt une tarte maison et un chocolat au gite Marie Madeleine.

Au départ du boréon, la neige est présente miraculeusement après une vallée bien tristounette en neige. La vallée meurtie par la tempête Alex de 2020 et le sentier de départ dans les bois s’est effacé pour faire place à une vallée élargie de cailloux.

Au bout de 40 min nous atteignons le restaurant l’Alpage auquel nous reviendrons déjeuner le midi. La curiosité nous pousse à marcher dans une neige très peu transformée mais qui par moment fait défaut. Le pont de peirastreche arrive à nos pieds, le vent est froid, nous redescendons se mettre au chaud au restaurant.

Il commence à neigeoter timidement, sentiment de réconfort qui cette fois-ci tombera à pique versus la semaine dernière où le soleil généreux et les températures douces nous invitait à manger dehors.
Aujourd’hui, le départ sera donné à Roya, hameau pastoral de la Tinée situé en altitude au bout d’une route partiellement enneigée. Au début le sentier est une piste qui descend dans la forêt pour traverser la rivière via une passerelle.
Montée progressive pour déboucher sur des grandes étendues enneigées. La trace monte vers le col de crous, mais nous décidons de faire nos propres traces en allant vers la montagne de l’Alp.
Une belle poudreuse nous accueille, le temps est magnifique. Le déjeuner sera pris en face du col de Crous et face au Mounier. Une galette est sortie du sac accompagné d’une bouteille. Un bon moment convivial qui profite à tous. La descente se fera “hors sentier” dans les divers pentes pour redescendre dans la vallée, des belles sensations de glisse au milieu des mélèzes loin du chemin initial. De bonne sensations de liberté. Retour à la passerelle de ce matin pour une petit parcours le long de la rivière.
Une belle randonnée toujours dans une super ambiance
Yohann Accompagnateur Terres d’émotions

Galette des rois à L’alpage sous le signe de la raquette

Le froid polaire est descendu ce dimanche dans les montagnes du Mercantour. Le vent se lève et le couvert forestier est le bienvenu.

Au départ du boréon, la neige est présente miraculeusement après une vallée bien tristounette en neige. La vallée meurtie par la tempête Alex de 2020 et le sentier de départ dans les bois s’est effacé pour faire place à une vallée élargie de cailloux.

Au bout de 40 min nous atteignons le restaurant l’Alpage auquel nous reviendrons déjeuner le midi. La curiosité nous pousse à marcher dans une neige très peu transformée mais qui par moment fait défaut. Le pont de peirastreche arrive à nos pieds, le vent est froid, nous redescendons se mettre au chaud au restaurant.

Il commence à neigeoter timidement, sentiment de réconfort qui cette fois-ci tombera à pique versus la semaine dernière où le soleil généreux et les températures douces nous invitait à manger dehors.
Aujourd’hui, le départ sera donné à Roya, hameau pastoral de la Tinée situé en altitude au bout d’une route partiellement enneigée. Au début le sentier est une piste qui descend dans la forêt pour traverser la rivière via une passerelle.
Montée progressive pour déboucher sur des grandes étendues enneigées. La trace monte vers le col de crous, mais nous décidons de faire nos propres traces en allant vers la montagne de l’Alp.
Une belle poudreuse nous accueille, le temps est magnifique. Le déjeuner sera pris en face du col de Crous et face au Mounier. Une galette est sortie du sac accompagné d’une bouteille. Un bon moment convivial qui profite à tous. La descente se fera “hors sentier” dans les divers pentes pour redescendre dans la vallée, des belles sensations de glisse au milieu des mélèzes loin du chemin initial. De bonne sensations de liberté. Retour à la passerelle de ce matin pour une petit parcours le long de la rivière.
Une belle randonnée toujours dans une super ambiance
Yohann Accompagnateur Terres d’émotions