Les premières neiges du plateau de Beuil. La tête de Garnier

Première randonnée Raquettes de la saison qui nous emmène sur le plateau de Beuil. Au menu la tête de Garnier qui domine la vallée du Cians et offre une vue sur le haut bvar/Haut Verdon et la vallée de la Tinée.

Une pluie vendredi dernier est venue s’ajouter à la neige tombée en quantité la semaine dernière. C’est donc dans une gène parsemée de strie consécutif à la pluie et au réchauffement des températures que nous évoluons. De plus la couche de surface ayant gelée, la neige est légèrement crouté et ne porte pas suffisamment. Mais au delà de cette aspect, c’est par un parcours nouveau que nous montons à la tête de Garnier.

Les mélèzes dorés de la tête de Méric

Péone est situé sur un affluent du Var, le Tuébi. Un village dans le comté de Nice jusqu’en 1860. La tête de Méric domine cette vallée du Var côté anciennement Sardes. C’est en montant au plus haut vers de petites routes que l’on commence la randonnée.

Un magnifique chemin d’abord dans les pain avant de se retrouver sur une ligne de crête dans les mélèzes. Ici c’est toujours l’automne, Les épine dorées sont encore dans les arbres ce qui confère à la forêt des couleurs éclatantes.

Le Mont Archas, Sentinelle du boréon au milieu des mélèzes

C’est toujours un bonheur de pouvoir monter au col de Salèse en voiture. Autorisation délivrée par le parc aux accompagnateurs en montagne  🙂

Le temps est mitigé ce matin, quelques résidus de neige sur le sentier. Une neige qui peine à fondre et qui est par endroit verglacée. Nous montons tranquillement au col de la valette, quelques chamois gambadent dans les pierriers. Au col le vent se lève sur les lignes de crête. Un vent froid. La température descend à partir de la mi journée.

C’est donc bien exposé au vent que nous montons au mont archas. Les gants sont de rigueur ! Le soleil reste caché par les nuages, mais le ciel se dégage peu à peu.

Couleurs d’automne au canal de Braux et Châtaignes

Les forêts changent de couleurs, les feuillus revêtent leur parure dorée et au soleil, cela donne des couleurs éclatantes.

Nous commençons la randonnée par ramasser des châtaignes avant d’atteindre le canal de Braux. Ce canal construit en 1859 toujours en activité sert à irriguer une centaine d’hectares de terres à l’entrée du village de Braux. Le canal serpente dans la forêt de châtaigniers, de hêtres et de pins pour aller chercher l’eau du coulomp. Ce canal fait environ 7kms. Nous n’en ferons que 3.5 kms.

Puis nous partons en direction ce Chabrière, un petit hameau médiéval en reconstruction. Une légère remontée pour atteindre une ruine et d’anciennes restanques, témoins de l’activité agropastorales d’autrefois.

Ici les nouvelles céréales au début XX siècle ont supplanté le commerce des châtaignes dont l’activité a commencé au XVI siècle.

Au moment du déjeuner dans une petite clairière, nous établissons un feu (sur trépied pour ne pas laisser de trace de brûlé au sol) et nous faisons cuire nos châtaignes à l’aide d’une poêle à châtaignes.

Nous continuons à marcher dans une forêt de hêtres et de chataigniers au couleurs jaunes jusqu’à la pierre qui tremble. Magnifique bloc de gré posé sur un socle beaucoup plus petit. Une curiosité géologique impressionnante.

Le Pont des Tuves -la Siagne dans toute sa splendeur

Magnifique rivière qu’est la Siagne séparant le var des Alpes-Maritimes. Du haut de St Cézaire, la rivière est 300 m plus bas.

Delà nous descendons donc d’abord pour tranquillement pour aller vers la chapelle St Saturnin  (moine du 4 eme Siecle). Cette chapelle a été construite au XIIe siècle par les moines de Lérins (propriétaires des terres). Elle fut la paroisse du hameau qui depuis l’époque romaine assurait la surveillance et la sécurité du chemin.

Puis nous reprenons le GR avant de le quitter pour les bords du canal de la Siagne. Quelques poissons font des allers retours dans les eaux claires du canal.

Puis nous arrivons au pont des Tuves (vient de « Tufs » ,
Une aventure de se retrouver le long de la montagne pour rejoindre la prise d’eau. L’eau coule difficilement en cet fin d’été. On remonte les méandres d’une rivière asséchée pour y faire notre barbecue. Le soleil est généreux, les grillades sont bonnes.

Partis rive gauche de la vaïre, nous voici rive droite après quelques passages hors sentier. Descente au vieux moulin pour trouver quelques vasques où se baigner. 5 personnes profiteront de l’eau fraiche de la rivières ‘y refroidir.

Brame du cerf – La nature à l’heure des rencontres

Pour aller au sommet du Mont Grazian, il faut d’abord remonter la vallée de la Basséra tranquillement par un beau sentier en forêt.Puis après quelques mètres de dénivelée, la ligne de crête se dessine. Le mont Grazian et ses nombreuses bornes frontières est devant nous surveillant la vallée de la Bévéra avec Piène d’un côté et Olivetta San Michèlle de l’autre.Un âne un peu trop collant s’intéresse à notre déjeuner, tout comme des bousiers friands des crottins de l’âne. Chacun se régale comme il peut ! On redescend le GR non sans avoir été voir par la voie des airs le village de Piène.Nous voici à la frontière de 1947, les panneaux routiers nous l’indiquent. Les deux panneaux Italie et France sont distants de 50m. Alors au milieu dans quel pays sommes nous ?
Une aventure de se retrouver le long de la montagne pour rejoindre la prise d’eau. L’eau coule difficilement en cet fin d’été. On remonte les méandres d’une rivière asséchée pour y faire notre barbecue. Le soleil est généreux, les grillades sont bonnes.

Partis rive gauche de la vaïre, nous voici rive droite après quelques passages hors sentier. Descente au vieux moulin pour trouver quelques vasques où se baigner. 5 personnes profiteront de l’eau fraiche de la rivières ‘y refroidir.

Le Mont Grazian, une frontière ancienne du comté de Nice

Pour aller au sommet du Mont Grazian, il faut d’abord remonter la vallée de la Basséra tranquillement par un beau sentier en forêt.Puis après quelques mètres de dénivelée, la ligne de crête se dessine. Le mont Grazian et ses nombreuses bornes frontières est devant nous surveillant la vallée de la Bévéra avec Piène d’un côté et Olivetta San Michèlle de l’autre.Un âne un peu trop collant s’intéresse à notre déjeuner, tout comme des bousiers friands des crottins de l’âne. Chacun se régale comme il peut ! On redescend le GR non sans avoir été voir par la voie des airs le village de Piène.Nous voici à la frontière de 1947, les panneaux routiers nous l’indiquent. Les deux panneaux Italie et France sont distants de 50m. Alors au milieu dans quel pays sommes nous ?
Une aventure de se retrouver le long de la montagne pour rejoindre la prise d’eau. L’eau coule difficilement en cet fin d’été. On remonte les méandres d’une rivière asséchée pour y faire notre barbecue. Le soleil est généreux, les grillades sont bonnes.

Partis rive gauche de la vaïre, nous voici rive droite après quelques passages hors sentier. Descente au vieux moulin pour trouver quelques vasques où se baigner. 5 personnes profiteront de l’eau fraiche de la rivières ‘y refroidir.

Entre canal et moulin, Grillade et Baignade dans la Vaïre

Au départ de Méailles, petit montée avant d’entamer un sentier qui n’existe pas sur la carte mais qui longe bien le canal de la vaïre sur plus de 6 kms.

Une aventure de se retrouver le long de la montagne pour rejoindre la prise d’eau. L’eau coule difficilement en cet fin d’été. On remonte les méandres d’une rivière asséchée pour y faire notre barbecue. Le soleil est généreux, les grillades sont bonnes.

Partis rive gauche de la vaïre, nous voici rive droite après quelques passages hors sentier. Descente au vieux moulin pour trouver quelques vasques où se baigner. 5 personnes profiteront de l’eau fraiche de la rivières ‘y refroidir.

Les sources de la Barlatte, Gorges de Saucha Negra

Le sentier commence en descente pour rejoindre le moulin de la barlatte. Moulin autrefois utilisé pour fabriquer la farine. Un système ingénieux de prise d’eau dans la barlatte amenait l’eau par un canal, puis descendait avec force dans un conduit pour faire tourner une meule.
Ce moulin a été restauré. Le sentier remonte pour rejoindre un autre canal beaucoup plus ancien qui prenait l’eau à la sortie des gorges. Ce canal a été détruit par des crues successives. Le déjeuner est pris sur les bords de rive de la rivière. Ainsi qu’une petite baignade improvisée dans les eaux tumultueuses et limoneuses de la rivière.
Les différents orages de presque  tous les jours dans la vallée du var arrachent la roches friable aux alentours Encore quelques montées et nous rejoignons la route qui nous mène à Chateaneuf d’Entraunes.
Une petite visite du village et cette randonnée se termine par un petit verre au bistrot de pays.

Le sentier se rétrécie, puis les parois se rapprochent et l’entrée du premier tunnel est là devant nous avec ses vieilles poutres en bois avec le canal couvert au milieu. Il faut se baisser un peu.

Puis quelques mètres plus loin le long canal de plus de 300 m, plus de 10 minutes de marche. A l’entrée du tunnel, les eaux du canal se jettent littéralement  dans le tunnel. Alors aidé de la frontale nous progressons dans cette petite rivière souterraine dont la faible hauteur d’eau mouillent quelque peu les chaussures.

Le déjeuner est pris à l’ombre face à St Etienne de Tinée. Le canal construit en 1949 continue sont parcours pour irriguer les restanque d’Ublan située sous le col d’annelle.

Une bien bonne journée à l’ombre des sous bois et sans effort !!

La lumière au bout du tunnel d’ublan..

Au départ, un petit déjeuner convivial, un sentier ombragé le long du canal qui relie St Dalmas le Selvage à St Etienne de Tinée. Quelques fleurs sont encore en fleurs dans cette forêt luxuriante préservée des chaleurs estivales. Ainsi on aura croisé la sauge glutineuse (très collante aux doigts), le séneçon, l’ortie royale, le rosier des dunes, la pulmonaire…et quelques champignons, la coulemelle, le sanguin et le baveux…autant de richesses en cette fin d’été.

Le sentier se rétrécie, puis les parois se rapprochent et l’entrée du premier tunnel est là devant nous avec ses vieilles poutres en bois avec le canal couvert au milieu. Il faut se baisser un peu.

Puis quelques mètres plus loin le long canal de plus de 300 m, plus de 10 minutes de marche. A l’entrée du tunnel, les eaux du canal se jettent littéralement  dans le tunnel. Alors aidé de la frontale nous progressons dans cette petite rivière souterraine dont la faible hauteur d’eau mouillent quelque peu les chaussures.

Le déjeuner est pris à l’ombre face à St Etienne de Tinée. Le canal construit en 1949 continue sont parcours pour irriguer les restanque d’Ublan située sous le col d’annelle.

Une bien bonne journée à l’ombre des sous bois et sans effort !!