Le Mimosas du Tanneron – splendeur florale

C’est au plein cœur de l’hiver que les mimosas fleurissent un peu partout dans le départements. Mais c’est dans le massif du Tanneron qui sont les plus nombreux.

Quoi de mieux que des les admirer lors d’un petit parcours de 13 kms et 480 m de D+. Un parcours bucolique facile le long d’une rivière et de divers sentiers tantôt dans des vallées ou en lignes de crêtes où les mimosas sont partout à des degrés diverses de floraison.

Loin de l’agitation du flot de touristes nous profitons en quasi exclusivité des chemins de traverses qui nous offrent cette couleur jaune abondante de part et d’autres du sentier.

Introduit au XVIII siècle, cet arbre d’origine australienne s’exporte à travers le monde. Quelques variétés sont présentes dans le massif associées à l’eucalyptus de Gunn avec ses feuilles rondes. Le mimosas à de multiples propriétés médicinales. Il peut aussi servir à des préparations culinaires, et dans la construction de l’habitat. Le déjeuner est pris au soleil avec une superbe vue sur la plaine de Fayence et Caillan. Bref, une randonnée plaisante dans une bonne ambiance de partage

La neige fait cruellement défaut (surtout en face sud). Le parcours pour aller au lac des Grenouilles se fera dans le vallon de fontanalbe, là où la neige est encore bien présente.

Un  paysage grandiose et une neige de qualité au dessus de 1900 m. La neige reste pas trop transformée. Quelques chamois s’amusent sur les pentes, de nombreuses traces d’écureuil au sol, mais aussi des traces de renard et de lièvre Variable. Le soleil est généreux, et très peu de vent.

Nous arrivons au lac des grenouille en le surplombant  par le côté ouest. Le lac enneigé est suffisamment solide pour que nous le traversions. Déjeuner au soleil sur un rocher. On aurait pu y rester des heures  !

Retour par la piste pour compléter ce parcours par une boucle. La fin de la randonnée se conclura par un verre de l’amitié (ou plutôt une tarte maison et un chocolat au gite Marie Madeleine.

Au départ du boréon, la neige est présente miraculeusement après une vallée bien tristounette en neige. La vallée meurtie par la tempête Alex de 2020 et le sentier de départ dans les bois s’est effacé pour faire place à une vallée élargie de cailloux.

Au bout de 40 min nous atteignons le restaurant l’Alpage auquel nous reviendrons déjeuner le midi. La curiosité nous pousse à marcher dans une neige très peu transformée mais qui par moment fait défaut. Le pont de peirastreche arrive à nos pieds, le vent est froid, nous redescendons se mettre au chaud au restaurant.

Il commence à neigeoter timidement, sentiment de réconfort qui cette fois-ci tombera à pique versus la semaine dernière où le soleil généreux et les températures douces nous invitait à manger dehors.
Aujourd’hui, le départ sera donné à Roya, hameau pastoral de la Tinée situé en altitude au bout d’une route partiellement enneigée. Au début le sentier est une piste qui descend dans la forêt pour traverser la rivière via une passerelle.
Montée progressive pour déboucher sur des grandes étendues enneigées. La trace monte vers le col de crous, mais nous décidons de faire nos propres traces en allant vers la montagne de l’Alp.
Une belle poudreuse nous accueille, le temps est magnifique. Le déjeuner sera pris en face du col de Crous et face au Mounier. Une galette est sortie du sac accompagné d’une bouteille. Un bon moment convivial qui profite à tous. La descente se fera « hors sentier » dans les divers pentes pour redescendre dans la vallée, des belles sensations de glisse au milieu des mélèzes loin du chemin initial. De bonne sensations de liberté. Retour à la passerelle de ce matin pour une petit parcours le long de la rivière.
Une belle randonnée toujours dans une super ambiance
Yohann Accompagnateur Terres d’émotions

Lac des Grenouilles -Merveilles de Casterino

Terres d’émotions est de retour dans la vallée de la Roya après deux ans d’absence. Les stigmates de la tempête Alex sont toujours présents. La route est toujours en construction, mais c’est appréciable de pouvoir revenir à Casterino.

La neige fait cruellement défaut (surtout en face sud). Le parcours pour aller au lac des Grenouilles se fera dans le vallon de fontanalbe, là où la neige est encore bien présente.

Un  paysage grandiose et une neige de qualité au dessus de 1900 m. La neige reste pas trop transformée. Quelques chamois s’amusent sur les pentes, de nombreuses traces d’écureuil au sol, mais aussi des traces de renard et de lièvre Variable. Le soleil est généreux, et très peu de vent.

Nous arrivons au lac des grenouille en le surplombant  par le côté ouest. Le lac enneigé est suffisamment solide pour que nous le traversions. Déjeuner au soleil sur un rocher. On aurait pu y rester des heures  !

Retour par la piste pour compléter ce parcours par une boucle. La fin de la randonnée se conclura par un verre de l’amitié (ou plutôt une tarte maison et un chocolat au gite Marie Madeleine.

Au départ du boréon, la neige est présente miraculeusement après une vallée bien tristounette en neige. La vallée meurtie par la tempête Alex de 2020 et le sentier de départ dans les bois s’est effacé pour faire place à une vallée élargie de cailloux.

Au bout de 40 min nous atteignons le restaurant l’Alpage auquel nous reviendrons déjeuner le midi. La curiosité nous pousse à marcher dans une neige très peu transformée mais qui par moment fait défaut. Le pont de peirastreche arrive à nos pieds, le vent est froid, nous redescendons se mettre au chaud au restaurant.

Il commence à neigeoter timidement, sentiment de réconfort qui cette fois-ci tombera à pique versus la semaine dernière où le soleil généreux et les températures douces nous invitait à manger dehors.
Aujourd’hui, le départ sera donné à Roya, hameau pastoral de la Tinée situé en altitude au bout d’une route partiellement enneigée. Au début le sentier est une piste qui descend dans la forêt pour traverser la rivière via une passerelle.
Montée progressive pour déboucher sur des grandes étendues enneigées. La trace monte vers le col de crous, mais nous décidons de faire nos propres traces en allant vers la montagne de l’Alp.
Une belle poudreuse nous accueille, le temps est magnifique. Le déjeuner sera pris en face du col de Crous et face au Mounier. Une galette est sortie du sac accompagné d’une bouteille. Un bon moment convivial qui profite à tous. La descente se fera « hors sentier » dans les divers pentes pour redescendre dans la vallée, des belles sensations de glisse au milieu des mélèzes loin du chemin initial. De bonne sensations de liberté. Retour à la passerelle de ce matin pour une petit parcours le long de la rivière.
Une belle randonnée toujours dans une super ambiance
Yohann Accompagnateur Terres d’émotions

Galette des rois à L’alpage sous le signe de la raquette

Le froid polaire est descendu ce dimanche dans les montagnes du Mercantour. Le vent se lève et le couvert forestier est le bienvenu.

Au départ du boréon, la neige est présente miraculeusement après une vallée bien tristounette en neige. La vallée meurtie par la tempête Alex de 2020 et le sentier de départ dans les bois s’est effacé pour faire place à une vallée élargie de cailloux.

Au bout de 40 min nous atteignons le restaurant l’Alpage auquel nous reviendrons déjeuner le midi. La curiosité nous pousse à marcher dans une neige très peu transformée mais qui par moment fait défaut. Le pont de peirastreche arrive à nos pieds, le vent est froid, nous redescendons se mettre au chaud au restaurant.

Il commence à neigeoter timidement, sentiment de réconfort qui cette fois-ci tombera à pique versus la semaine dernière où le soleil généreux et les températures douces nous invitait à manger dehors.
Aujourd’hui, le départ sera donné à Roya, hameau pastoral de la Tinée situé en altitude au bout d’une route partiellement enneigée. Au début le sentier est une piste qui descend dans la forêt pour traverser la rivière via une passerelle.
Montée progressive pour déboucher sur des grandes étendues enneigées. La trace monte vers le col de crous, mais nous décidons de faire nos propres traces en allant vers la montagne de l’Alp.
Une belle poudreuse nous accueille, le temps est magnifique. Le déjeuner sera pris en face du col de Crous et face au Mounier. Une galette est sortie du sac accompagné d’une bouteille. Un bon moment convivial qui profite à tous. La descente se fera « hors sentier » dans les divers pentes pour redescendre dans la vallée, des belles sensations de glisse au milieu des mélèzes loin du chemin initial. De bonne sensations de liberté. Retour à la passerelle de ce matin pour une petit parcours le long de la rivière.
Une belle randonnée toujours dans une super ambiance
Yohann Accompagnateur Terres d’émotions

La montagne de l’Alp, les étendues sauvage de la Tinée

La neige tombée en abondance le dimanche d’avant n’a pas fondu. Les températures négatives ont conservé une poudreuse de qualité en face nord.
Aujourd’hui, le départ sera donné à Roya, hameau pastoral de la Tinée situé en altitude au bout d’une route partiellement enneigée. Au début le sentier est une piste qui descend dans la forêt pour traverser la rivière via une passerelle.
Montée progressive pour déboucher sur des grandes étendues enneigées. La trace monte vers le col de crous, mais nous décidons de faire nos propres traces en allant vers la montagne de l’Alp.
Une belle poudreuse nous accueille, le temps est magnifique. Le déjeuner sera pris en face du col de Crous et face au Mounier. Une galette est sortie du sac accompagné d’une bouteille. Un bon moment convivial qui profite à tous. La descente se fera « hors sentier » dans les divers pentes pour redescendre dans la vallée, des belles sensations de glisse au milieu des mélèzes loin du chemin initial. De bonne sensations de liberté. Retour à la passerelle de ce matin pour une petit parcours le long de la rivière.
Une belle randonnée toujours dans une super ambiance
Yohann Accompagnateur Terres d’émotions

WE reveillon 2022 -refuge de la cantonnière -Estenc

Chose promise, chose due. Un WE de fête inoubliable pour cette nouvelle année  au refuge de la Cantonnière à Estenc. Tout d’abord après une remontée de la vallée du var de l’embouchure jusqu’à la source et quelques degrés en moins sur le thermomètre, nous chaussons les raquettes pour remonter ce cours d’eau du vallon de sanguinières qui fut au temps jadis italien, laissant ainsi les sources du var française bien en contre bas.

La neige est présente en abondance bien que réchauffée la semaine passée par de la pluie. Néanmoins c’est 60 cm qui se présentent à 2000 m d’altitude. Pendant le déjeuner, petit échauffement de recherche DVA pour s’entrainer à être efficace en cas d’avalanche. Le principe de recherche est facile, mais en pratique ce la devient moins évident. Un jeu initiatique qui nous met dans l’ambiance.

Retour au gite vers 16h, pour se préparer pour un apéro magistral que Philippe nous sert en musique devant un feu de joie. Après un petit quizz terres d’émotions sur la montagne pour les 45 personnes et c’est l’heure du festin montagnard préparé par Anne-marie.

Une bonne ambiance autour de la table qui continuera jusqu’à 2h du matin sur le « dance floor » du refuge au son de musiques transgenérationnelles et où Chantal Goya s’est invitée. Une super ambiance à minuit pétante et le passage en 2023. La soirée continura pour certains jusqu’à 4h00 du mat’.

La Cabane ensoleillée du col d’Anelle

Journée exceptionnelle dans la vallée de la Tinée à St Dalmas le Selvage.

Les récentes chutes de neige ont bien recouvert l’ensemble des montagnes, des forêts aux sommets. C’est donc raquettes aux pieds que nous partons en direction du col d’Anelle dans l’ombre au début puis dans le soleil à force de progresser dans les bois. Le soleil généreux fait briller la neige, les nombreuses traces d’animaux, nous rappellent que la forêt vit plus que jamais avec des habitants  tels que le chamois, le renard, le lièvre ou l’écureuil. 

C’est donc vers 12h que nous atteignons la cabane d’Anelle pour prendre un déjeuner bien mérité. Et c’est là que nous sortons le mini-barbecue écologique pour faire griller quelques saucisses, réchauffer une quiche et quelques chaussons aux pommes. Au départ il ne restera aucune trace de ce petit moment convivial.

Les premières neiges du plateau de Beuil. La tête de Garnier

Première randonnée Raquettes de la saison qui nous emmène sur le plateau de Beuil. Au menu la tête de Garnier qui domine la vallée du Cians et offre une vue sur le haut bvar/Haut Verdon et la vallée de la Tinée.

Une pluie vendredi dernier est venue s’ajouter à la neige tombée en quantité la semaine dernière. C’est donc dans une gène parsemée de strie consécutif à la pluie et au réchauffement des températures que nous évoluons. De plus la couche de surface ayant gelée, la neige est légèrement crouté et ne porte pas suffisamment. Mais au delà de cette aspect, c’est par un parcours nouveau que nous montons à la tête de Garnier.

Les mélèzes dorés de la tête de Méric

Péone est situé sur un affluent du Var, le Tuébi. Un village dans le comté de Nice jusqu’en 1860. La tête de Méric domine cette vallée du Var côté anciennement Sardes. C’est en montant au plus haut vers de petites routes que l’on commence la randonnée.

Un magnifique chemin d’abord dans les pain avant de se retrouver sur une ligne de crête dans les mélèzes. Ici c’est toujours l’automne, Les épine dorées sont encore dans les arbres ce qui confère à la forêt des couleurs éclatantes.

Le Mont Archas, Sentinelle du boréon au milieu des mélèzes

C’est toujours un bonheur de pouvoir monter au col de Salèse en voiture. Autorisation délivrée par le parc aux accompagnateurs en montagne  🙂

Le temps est mitigé ce matin, quelques résidus de neige sur le sentier. Une neige qui peine à fondre et qui est par endroit verglacée. Nous montons tranquillement au col de la valette, quelques chamois gambadent dans les pierriers. Au col le vent se lève sur les lignes de crête. Un vent froid. La température descend à partir de la mi journée.

C’est donc bien exposé au vent que nous montons au mont archas. Les gants sont de rigueur ! Le soleil reste caché par les nuages, mais le ciel se dégage peu à peu.

Couleurs d’automne au canal de Braux et Châtaignes

Les forêts changent de couleurs, les feuillus revêtent leur parure dorée et au soleil, cela donne des couleurs éclatantes.

Nous commençons la randonnée par ramasser des châtaignes avant d’atteindre le canal de Braux. Ce canal construit en 1859 toujours en activité sert à irriguer une centaine d’hectares de terres à l’entrée du village de Braux. Le canal serpente dans la forêt de châtaigniers, de hêtres et de pins pour aller chercher l’eau du coulomp. Ce canal fait environ 7kms. Nous n’en ferons que 3.5 kms.

Puis nous partons en direction ce Chabrière, un petit hameau médiéval en reconstruction. Une légère remontée pour atteindre une ruine et d’anciennes restanques, témoins de l’activité agropastorales d’autrefois.

Ici les nouvelles céréales au début XX siècle ont supplanté le commerce des châtaignes dont l’activité a commencé au XVI siècle.

Au moment du déjeuner dans une petite clairière, nous établissons un feu (sur trépied pour ne pas laisser de trace de brûlé au sol) et nous faisons cuire nos châtaignes à l’aide d’une poêle à châtaignes.

Nous continuons à marcher dans une forêt de hêtres et de chataigniers au couleurs jaunes jusqu’à la pierre qui tremble. Magnifique bloc de gré posé sur un socle beaucoup plus petit. Une curiosité géologique impressionnante.