Les sources de la Barlatte, Gorges de Saucha Negra

Le sentier commence en descente pour rejoindre le moulin de la barlatte. Moulin autrefois utilisé pour fabriquer la farine. Un système ingénieux de prise d’eau dans la barlatte amenait l’eau par un canal, puis descendait avec force dans un conduit pour faire tourner une meule.
Ce moulin a été restauré. Le sentier remonte pour rejoindre un autre canal beaucoup plus ancien qui prenait l’eau à la sortie des gorges. Ce canal a été détruit par des crues successives. Le déjeuner est pris sur les bords de rive de la rivière. Ainsi qu’une petite baignade improvisée dans les eaux tumultueuses et limoneuses de la rivière.
Les différents orages de presque  tous les jours dans la vallée du var arrachent la roches friable aux alentours Encore quelques montées et nous rejoignons la route qui nous mène à Chateaneuf d’Entraunes.
Une petite visite du village et cette randonnée se termine par un petit verre au bistrot de pays.

Le sentier se rétrécie, puis les parois se rapprochent et l’entrée du premier tunnel est là devant nous avec ses vieilles poutres en bois avec le canal couvert au milieu. Il faut se baisser un peu.

Puis quelques mètres plus loin le long canal de plus de 300 m, plus de 10 minutes de marche. A l’entrée du tunnel, les eaux du canal se jettent littéralement  dans le tunnel. Alors aidé de la frontale nous progressons dans cette petite rivière souterraine dont la faible hauteur d’eau mouillent quelque peu les chaussures.

Le déjeuner est pris à l’ombre face à St Etienne de Tinée. Le canal construit en 1949 continue sont parcours pour irriguer les restanque d’Ublan située sous le col d’annelle.

Une bien bonne journée à l’ombre des sous bois et sans effort !!

La crête de la Blanche, Panorama du Mercantour

Montée douce pour commencer à travers les mélèzes, sous un ciel lumineux, et sous la lune encore présente. La forêt fait place à la prairie d’alpage. Un troupeau de mouton fait sonner les cloches sous l’œil aviser des chiens de troupeau. Le berger est présent, la Cabane de l’Alpe veille à l’aube de la transhumance.

Fort Carra 2880m – Pointe côte de l’âne 2916 m

Intense émotions d’un lever et coucher de soleil au fort Carra à 2880m d’altitude ce WE .

Sommet emblématique de la Tinée et pour cause:  une forme unique, un point de vue magistral, un sentier hors norme avec toute la technique du randonneur aguerri pour y monter.

C’est sans compter une nuit exceptionnelle au sommet avec un bivouac nature sous un ciel étoilé qu’il en empêche de dormir tellement c’est magnifique.

Prise de hauteur aux Gorges du Verdon- Barre de Rancoumas

Les retrouvailles avec la montagne ce sont fait attendre. Deux mois privés de sorties. Mais quel bonheur de retrouver cette nature intacte.

Non quelle nous attendait. Elle est restée rayonnante pour le plaisir de nos yeux. Qui dit reprise dit dénivelée mesuré. 400 m pour aller au Challas, un promontoire au dessus du Cians.

08/12 Le rocher de Roquebrune dans toute sa splendeur

Ainsi nous arrivons à distinguer les empreintes de renard avec la taille des traces mais aussi à la disposition des empreintes. Également, les traces de lièvre variable sont présentes, témoins sans doute d’une course poursuite avec le renard !. Plus haut c’est une trace de loup que nous obervons, là aussi grâce à la taille des empreintes, mais aussi à la disposition des pas (différente du renard).

Le Lac des Verrairiers et ses hordes de chamois

n ce moment, le temps reste incertain l’après-midi. Mais la météo n’est pas une science exacte. Tout dépend du vent. Et ce la n’empêche pas de randonner. Donc nous commençons le sentier pour monter à un petit replat. Aucun sentier n’est écrit sur la carte, mais il existe bien en réalité.